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Explosion de joie sur les réseaux sociaux après la grâce royale des prisonniers au Maroc

Explosion de joie sur les réseaux sociaux après la grâce royale des prisonniers au Maroc
Mardi 30 Juillet 2024 - 13:35
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La récente décision de SM le Roi Mohammed VI de gracier un groupe de détenus d'opinion a déclenché une vague de joie et de célébrations sur les réseaux sociaux. Les militants des droits humains et les citoyens marocains ont salué cette initiative, félicitant les libérés et appelant à la libération des autres détenus d'opinion et prisonniers politiques.

Des photos et vidéos des premiers instants de liberté de plusieurs détenus, dont Soulaimane Raissouni, Omar Radi, Toufik Bouachrine, Youssef El Hirech et Reda Taoujni, ont été largement partagées en ligne. Les messages de félicitations et d'expression de joie se sont multipliés, illustrant l'importance de cette décision pour de nombreux marocains.

À l’occasion de ses 25 ans de règne, SM le Roi Mohammed VI a gracié 2.476 personnes condamnées par les différents tribunaux du Royaume, parmi lesquelles se trouvent des journalistes ayant commis des crimes prévus et punis par le code pénal. Parmi les graciés figurent Toufiq Bouachrine, Omar Radi, Soulaimane Raissouni ainsi que les activistes Reda Taoujni et Youssef El Hirech.

Cette décision royale a été perçue comme un geste significatif, apportant joie et bonheur à de nombreuses familles. Toutefois, les militants et les défenseurs des droits humains continuent d’appeler à la libération des autres détenus d'opinion encore emprisonnés.

La grâce royale, annoncée à l'occasion des célébrations de la glorieuse Fête du Trône, vise à apporter joie et bonheur à un grand nombre de condamnés, de détenus et à leurs familles. Parmi les autres personnes concernées par cette grâce figurent Imad Stitou, Afaf Bernani, Hicham Mansouri, Abdessamad Ait Aicha, Saida Alami et Mohamed Kenzouz.

La grâce royale des détenus d’opinion au Maroc a non seulement apporté une immense joie aux familles des libérés, mais elle a également ravivé les discussions sur la liberté d'expression et les droits humains dans le pays. Les célébrations sur les réseaux sociaux témoignent de l'impact profond de cette décision, alors que les appels à davantage de libérations continuent de résonner.


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