- 19:30Les aliments riches en vitamine C : des alliés santé incontournables
- 18:30Quand l’Aïd rime avec engagement : ces travailleurs qui ne s’arrêtent jamais
- 17:35Aguerd de retour : un atout majeur pour la Real Sociedad contre le Real Madrid
- 16:50Suspension temporaire de la pêche au poulpe : Une mesure de préservation des ressources marines
- 16:25Mutandis ouvre son capital à ses cadres dirigeants
- 15:50Marine Le Pen condamnée : un séisme politique en France
- 15:16Investissement et emploi : une feuille de route sous haute surveillance
- 14:30Maroc : Une offre d'emploi discriminatoire suscite l'indignation
- 13:50Tanger : Ces jeunes qui semencent la joie le jour de Aïd Al-Fitr
Suivez-nous sur Facebook
530 millions d’euros pour un Maroc plus vert
La Banque européenne pour la reconstruction et le développement (BERD) a alloué un financement record de 530 millions d’euros au Maroc, dans le cadre d’une série de projets destinés à promouvoir l’économie verte et le développement durable. L'annonce, faite le 16 janvier 2025, révèle qu’une grande partie de ces fonds, soit 59 %, a été dédiée à des initiatives écologiques, soulignant l'engagement du pays en matière de durabilité.
Parmi les projets emblématiques soutenus, la BERD a mis en lumière un prêt de 200 millions d’euros accordé au groupe OCP pour le développement de deux usines de dessalement, une initiative cruciale pour renforcer la sécurité hydrique du Maroc. Ce projet s'inscrit dans une vision à long terme visant à réduire l’utilisation d’eau douce dans la production industrielle d’ici 2030.
Les investissements de la BERD au Maroc s'inscrivent dans une stratégie plus large pour la région SEMED, axée sur la croissance durable et l’inclusion sociale. Une attention particulière a été portée à l’égalité des genres, avec 50 % des projets au Maroc étant liés à des initiatives favorisant cette cause. Ce financement illustre l'engagement constant de la BERD à soutenir le Maroc dans ses efforts de développement, tout en répondant aux défis environnementaux et sociaux du XXIe siècle.
Commentaires (0)