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Libération de 36 Marocains : les autorités Algériennes agissent à Zouj Bghal
Les autorités algériennes ont annoncé, mercredi, la libération d'un groupe de 36 jeunes Marocains au poste frontière de Zouj Bghal, qui sépare la ville algérienne de Maghnia d'Oujda. Cette opération fait suite à la libération d'un autre groupe de la même taille la semaine précédente, suscitant des inquiétudes quant aux conditions entourant ces détentions.
L'Association marocaine d'aide aux migrants en situation difficile, qui suit de près cette affaire, a précisé que ces jeunes étaient accusés de "tentative de migration clandestine". Le retour de ces Marocains fait partie d'une dynamique plus large, où l'association déplore que près de 450 dossiers de migrants soient actuellement en cours, incluant des cas de disparitions, de détentions et d'individus en attente d'immigration.
Les jeunes récemment libérés proviennent d'une variété de villes marocaines, notamment Fès, Oujda, Taza, Taounate, Rabat, Jerada, Taourirt, Kelaa des Sraghna, Midelt, Béni Mellal, Tétouan et Guercif. Bien que la majorité des jeunes concernés soient récemment détenus, certains auraient purgé leur peine, tandis que d'autres auraient été enfermés pendant plus de cinq mois en détention administrative.
L'association a également souligné que le processus de retour des Marocains incarcérés en Algérie est entravé par de nombreuses "difficultés techniques et procédurales". Elle continue de plaider pour la sensibilisation à la situation de ces ressortissants lors de forums et de rencontres internationales. Récemment, elle a participé à une conférence sur les disparus et les disparitions forcées, qui s'est tenue à Genève, en Suisse, les 15 et 16 janvier.
Cette situation met en lumière les défis humanitaires liés à la migration dans la région, ainsi que les implications des politiques de détention et de répression qui affectent de nombreux jeunes à la recherche de meilleures opportunités. Les efforts de l'association pour faire entendre la voix de ces migrants sont cruciaux dans un contexte où les droits humains continuent d'être une préoccupation majeure.
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