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En Espagne, l'extrême-droite est plus qu'une idée
2019 sera-t-elle l'année de Vox en Espagne ? L'année où le parti d'extrême-droite de Santiago Abascal pourrait faire une entrée fracassante au Parlement et deviendrait une force clé pour la formation d'un gouvernement ?
Selon deux sondages publiés cette semaine, si des législatives avait lieu aujourd'hui, Vox remporterait 13% des voix soit entre 43 et 45 sièges. Un lancement stratosphérique de l'extrême-droite en Espagne au détriment du Parti populaire, qui passerait de 33 % des voix à 19% seulement et perdrait près de la moitié de ses sièges. Des conservateurs talonnés par les libéraux de Ciudadanos qui progressent avec 18,8% des voix.
Ces enquêtes d'opinion montrent montre également que l'échiquier politique national penche vers la droite, comme c'est le cas en Andalousie. Si le Parti populaire, Ciudadanos et Vox joignaient leurs forces, ils obtiendraient une majorité absolue au Congrès avec 189 sièges.
Selon ces sondages, le Premier ministre socialiste Pedro Sanchez ne pourrait pas rester au pouvoir. Le PSOE, avec près de 23% des voix, obtiendrait les mêmes résultats qu'en 2016 : insuffisants pour gouverner, même avec les apports en voix du parti de gauche radicale Podemos et les formations nationalistes catalanes et basques.
Source : Euronews
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