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Algérie : l'épreuve de force avec le pouvoir
Nouvelle journée de mobilisation contre le régime en Algérie ce vendredi et premiers affrontements violents avec les forces de l'ordre. A Alger les policiers se sont opposés à de jeunes manifestants non loin du plais présidentiel. Une dizaine de personnes au moins ont été blessés.
Dans la capitale algérienne ce sont plusieurs dizaines de milliers de personnes qui sont descendus dans les rues pour dire non à une 5e mandat du président Bouteflika... mais pas seulement.
Ce vent de contestation inédit depuis 20 ans intervient alors que dimanche les autorités doivent confirmer officiellement la candidature du président sortant en vue des prochaines élections. Un test pour l'appareil politique du pays.
Mohamed Sifaoui, spécialiste du monde arabe, interrogé par Euronews : "Si le régime s'entête à présenter la candidature de Bouteflika, ce qui est possible, il pourrait se dire : On va passer en force et on a les services de securité de notre côté. Enfin, le pense-t-il pour l'instant. Mais je pense que si l'armée, notamment à travers le chef d'Etat Major, Ahmed Gaïd Salah, qui joue le rôle d'arbitre pour l'instant, même s'il est toujours loyal au clan présdientiel, si ce même chef d'Etat Major, lâche le clan présidentiel, il en est fini de Bouteflika."
Signe du flottement au sein même du pouvoir, la télévision d'Etat a ouvert son journal vendredi avec les manifestation du jour, sans toutefois évoquer le mot d'ordre des manifestants demandant de profonds changements démocratiques.
Source : Euronews
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