- 10:44Al Barid Bank et Zalar Holding scellent un partenariat pour l’inclusion financière des agriculteurs
- 10:39Transition énergétique : L’ONEE valide un plan d’investissement de 220 milliards de dirhams pour 2025-2030
- 10:30Nizar Baraka à "Walaw" : Les investissements dans l'eau pour surmonter la sécheresse
- 10:20Pluies bénéfiques : 44 millions de quintaux de céréales attendus au Maroc
- 09:48Anas Sefrioui dément les rumeurs d'acquisition du club Sheffield Wednesday
- 09:35Gaz naturel liquéfié : le Maroc lance un appel à manifestation d’intérêt pour un terminal flottant à Nador
- 09:35Conseil de gouvernement : Quatre projets de décrets et un accord de siège au programme
- 09:24Le Gazoduc africain atlantique : Le Maroc prépare le raccordement à Dakhla
- 09:15Taxis à Rabat : le ministère de l’Intérieur renforce les contrôles avec 500 permis suspendus
Suivez-nous sur Facebook
Affaire Benalla : toujours plus de questions
Après l'audition du ministre de l'intérieur et celle du préfet de Paris, c'est au tour du très attendu directeur de cabinet d'Emmanuel Macron, Patrick Strzoda. La commission d'enquête de l'Assemblée nationale se poursuit pour tenter d'éclaircir l'affaire Benalla et entendra également Stéphane Fratacci, le directeur de cabinet de Gérard Collomb. Ce dernier passera de son côté devant les Sénateurs.
Des montagnes de questions subsistent autour de ces violences lors de la manifestation du 1er mai à Paris.
Hier, le directeur de l'ordre public a indiqué que le fameux Monsieur Benalla n'avait "aucune autorisation" de la préfecture pour y assister, contredisant ainsi la version de l'Elysée qui avait indiqué dans un premier temps qu'il s'y trouvait en tant qu'observateur.
Taha Bouhafs, militant de La France Insoumise, a filmé les images des violences qui ont fait éclater l'affaire :
"A ce moment-là, je ne me doutais absolument pas que c'étaient des collaborateurs d'Emmanuel Macron. Pour moi, c'étaient des policiers, et c'est en ce sens que j'ai sorti mon téléphone, pour filmer la scène pour dénoncer une violence policière. Il faut que Macron s'exprime, moi en tant que manifestant, en tant que témoin j'ai besoin de savoir la vérité. Et à ce jour, ça fait quelques jours quand même qu'on en parle, ça fait 2 mois et demi que ça a eu lieu, on n'a toujours pas la vérité, on ne sait toujours pas ce qui s'est passé: qui lui a donné ce matériel? Qui l'a autorisé à venir? Qui l'a couvert? Pour quelles raisons."
Ce mardi après-midi, au-delà des auditions, les traditionnelles questions au gouvernement s'annoncent corsées, le Premier ministre Edouard Philippe devrait ainsi s'exprimer pour la première fois sur le sujet.
La commission des lois du Sénat auditionnera également à son tour Gérard Collomb, lui qui a tenté de se dédouaner de toute responsabilité la veille.
Source : Euronews
Commentaires (0)