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Deuxième nuit d'émeutes à Nantes
Une deuxième nuit d'émeutes a eu lieu à Nantes, dans le nord-ouest de la France, où un jeune homme a été tué mardi soir par la police. Des voitures, bâtiments publics et commerces ont été incendiées dans plusieurs quartiers sensibles de la ville. Onze personnes dont quatre mineurs ont été interpellés.
La situation est tendue dans cette ville de Loire Atlantique depuis a mort d'un homme de 22 ans, abattu d'une balle dans la gorge tirée par un policier. La nouvelle s'était rapidement rependue et provoqué une révolte spontanée de jeunes habitants.
Victime recherchée
La victime était recherchée par la police et avait tenté de s'enfuir au volant de sa voiture lors d'un contrôle effectué par une brigade de CRS, a précisé mercredi le procureur de la République à Nantes, Pierre Sennes.
"Le fait que cette personne ait fait l’objet au moins de juin 2017 d'un mandat d’arrêt délivré par un juge d'instruction de Créteil pour des faits de "vol en bande organisée, recel et association de malfaiteurs" peut peut-être explique la logique de fuite du conducteur", a-t-il affirmé.
Pierre Sennes a précisé "qu'un des policier a suivi la position du véhicule (...) jusqu'à se positionner à proximité de la place conducteur (...). Ce policier a tiré à une reprise". Il a en revanche refusé de confirmer l'information selon laquelle un CRS a été légèrement blessé pendant la tentative de fuite.
Mais des habitants furieux contredisent la version policière et dénoncent une "bavure". L'IGPN, la police des police françaises, a été saisie de l'enquête. Le Premier ministre Edouard Philippe est sur place aujourd'hui.
Source : Euronews
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