- 18:30Sherine Abdel Wahab signe son grand retour au Maroc pour Mawazine 2025
- 17:30Ben Seghir ciblé par Naples
- 16:45Maroc-Tunisie : Regragui salue un banc de touche désormais décisif
- 16:20Acide nitrique : le Maroc en tête des importations en 2024 au sein de la région MENA
- 15:30Face aux quotas européens, l’Ukraine redessine sa carte des exportations céréalières
- 14:35Une alimentation sûre grâce à la science : un enjeu de santé publique mondial
- 14:00Rabat accueille la 9e conférence annuelle sur la paix et la sécurité en Afrique
- 13:301,5 milliard de dirhams pour Site sur le projet ferroviaire Kénitra–Marrakech
- 12:30Impact Fund Denmark : Le fonds danois renforce ses investissements au Maroc
Suivez-nous sur Facebook
Aux États-Unis, une avancée médicale majeure s'accompagne d'une tragédie
le premier patient ayant reçu une greffe de rein de porc génétiquement modifié est décédé dimanche dernier. Les médecins soulignent la difficulté de déterminer si le décès est directement lié à la transplantation réalisée en mars dernier, qui avait duré plus de quatre heures.
Richard Slayman, 62 ans, avait été le premier patient vivant à bénéficier de cette greffe, alors qu'il souffrait d'une maladie rénale en phase terminale ainsi que de diabète et d’hypertension.
L'opération, menée par une équipe de l’hôpital de Boston, avait suscité un grand espoir chez des millions de patients en attente d’organes. Le rein utilisé avait été spécialement génétiquement modifié pour réduire les risques de rejet en éliminant les gènes porcins et en ajoutant des gènes humains, une technique appelée xénogreffe.
Cependant, malgré cette avancée prometteuse, il est évident qu'il reste encore de nombreux défis à relever avant de généraliser cette pratique. Des étapes techniques, scientifiques et éthiques devront être franchies pour que les greffes d'organes d'origine animale deviennent une alternative viable aux greffes classiques.
Commentaires (0)