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Escalade en RDC : le conseil de sécurité se mobilise
Face à une escalade des hostilités dans l'est de la République démocratique du Congo (RDC), le Conseil de sécurité de l'ONU a avancé à dimanche sa réunion initialement prévue lundi. Cette session exceptionnelle, demandée par Kinshasa et soutenue par la France, se tiendra à 10h00 (15h00 GMT) avec une intervention attendue de Bintou Keita, cheffe de la Mission des Nations unies pour la stabilisation en RDC (Monusco).
Goma sous tension
Les combats entre l’armée congolaise et le groupe rebelle M23 s'intensifient dans le Nord-Kivu. Ce dernier, accusé d’être soutenu par le Rwanda, progresse rapidement et encercle Goma, une ville d'un million d'habitants déjà surchargée par les déplacés. En réponse, Kinshasa a rappelé ses diplomates en poste à Kigali, marquant une nouvelle détérioration des relations bilatérales.
Appels à la paix
L'Union africaine et l'Union européenne ont appelé à la cessation immédiate des hostilités. Antonio Guterres, secrétaire général de l'ONU, a mis en garde contre un risque accru de guerre régionale si la situation persiste.
Un bilan humain alarmant
Les combats ont coûté la vie à treize soldats étrangers, dont trois Casques bleus de la Monusco. Les pertes incluent également des soldats sud-africains et malawites engagés dans la force régionale de la Communauté de développement de l’Afrique australe (SADC). Alors que les tensions augmentent, une intervention rapide est essentielle pour éviter une catastrophe humanitaire majeure.
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