- 21:01Georges Abdallah fixé sur sa libération le 17 juillet
- 20:00Nouvelle explosion de Starship : SpaceX à l’épreuve des revers répétés
- 19:00Alerte météo : orages violents et vague de chaleur intense jusqu’à vendredi au Maroc
- 18:00Le marché des phosphates alimentaires devrait atteindre 3,52 milliards de dollars d’ici 2030
- 17:39Israël intensifie sa rhétorique contre l’Iran
- 17:24Un accord aérien renforcé entre le Maroc et la Côte d’Ivoire
- 17:15Nouvelle structure unifiée pour Maroc Telecom sous la direction de Benchaâboun
- 17:15Le Maroc crée une agence nationale pour la protection de l’enfance
- 17:02Artisanat et propriété industrielle : un partenariat stratégique pour protéger et valoriser le savoir-faire marocain
Sous-Rubrique
Suivez-nous sur Facebook
Pour "reprendre le rugby français", Mola (Toulouse) choisirait Labit et Travers (Racing 92)
"Vous les avez là les gens qui doivent reprendre le rugby français" a déclaré l'entraîneur toulousain Ugo Mola en désignant Laurent Labit et Laurent Travers, le duo de techniciens du Racing 92, son prochain adversaire en quart de finale de Coupe d'Europe dimanche à Nanterre.
"Quand je vois les tergiversations du monde du rugby pour chercher des entraîneurs, ne cherchez pas, les deux meilleurs vous les avez à Paris. Ils l'ont prouvé et le prouvent encore: ils ont su s'adapter partout même en passant de Castres (champion de France en 2013, NDLR) au Racing (champion de France en 2016, NDLR)", a énuméré Mola.
"Les deux Laurent sont les deux meilleurs entraîneurs du Top 14, c'est incontestable. Quand vous êtes capables de gagner dans des contextes différents, avec des groupes différents, sur des terrains différents, pourquoi se poser plus de questions?", a ajouté l'entraîneur du Stade Toulousain.
"A un moment, il faut être logique et pragmatique... Après, s'ils veulent mettre un entraîneur étranger, qu'ils le mettent", a également déclaré le technicien toulousain en échos aux déclarations de Bernard Laporte, le président de la Fédération Française de rugby, qui a récemment annoncé avoir rencontré "les cinq meilleurs entraîneurs du monde", "cinq étrangers", avait-il précisé.
"On a tenté un entraîneur qui n'avait jamais entraîné au haut niveau (Marc Lièvremont, NDLR), un type qui a tout gagné (Guy Novès, NDLR), Jacques Brunel est un bon entraîneur et rien ne fonctionne: il faudrait se poser les bonnes questions", a-t-il poursuivi, s'avouant "préoccupé par notre rugby d'une manière générale".
"Moi? J'ai d'autres choses à faire en ce moment. Honnêtement, je suis très bien ici (à Toulouse, NDLR) et pour ceux qui laissent planer le doute, ne vous embêtez pas avec ça", a-t-il conclu dans un sourire à l'évocation d'une éventuelle candidature à la succession de Brunel à l'issue du Mondial.
Source : AFP
Commentaires (0)