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Puigdemont : "Les prisonniers politiques sont une honte pour l'Europe"
Carles Puigdemont est sorti de prison dans le nord de l'Allemagne, où il était incarcéré depuis une dizaine de jours.
Le leader indépendantiste catalan a été libéré après avoir payé une caution de 75.000 euros.
Auparavant, la justice allemande avait rejeté l'accusation de "rébellion" figurant dans le mandat d'arrêt européen émis par l'Espagne, que le parquet va continuer à examiner.
Carles Puigdemont reste ainsi sous contrôle judiciaire en Allemagne. Il n'a pas le droit de quitter le pays et devra pointer une fois par semaine dans un commissariat.
À sa sortie de prison, l'ex-président catalan a remercié tous ses soutiens dans le monde entier. Il a aussi demandé la libération immédiate des autres indépendantistes catalans actuellement emprisonnés en Espagne.
"Les prisonniers politiques sont une honte pour l'Europe", a-t-il notamment déclaré s'adressant indirectement au pouvoir central à Madrid, qui l'avait destitué fin octobre de la présidence de la Catalogne après la proclamation unilatérale d'indépendance.
En rejetant l'accusation de "rébellion", la justice allemande a infligé un véritable camouflet politique-juridique aux autorités espagnoles.
Le parquet doit examiner désormais d'autres charges figurant dans le mandat d'arrêt européen, dont des accusations de "détournement de fonds publics" pour l'organisation du référendum d'indépendance en Catalogne.
La "saga" Puigdemont tient en haleine l'Europe depuis de longs mois. Après sa destitution fin octobre, l'ex-président catalan avait fui en Belgique, avant d'être interpellé fin mars dans le nord de l'Allemagne, alors qu'il revenait d'un déplacement en Finlande.
Agences : AFP
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