- 21:24Signature d’un protocole d’entente entre l’ONDH et la Banque Mondiale
- 21:18La 7e édition de CASAMOUJA : quand le street art enrichit Casablanca
- 20:00La France exprime son indignation face à la détention de l’écrivain Boualem Sansal en Algérie
- 19:00Inondations en Espagne : un plan d'aides de 2,3 milliards d'euros pour soutenir les victimes
- 18:02Trêve au Liban : l’Iran salue l’arrêt de l’agression Israélienne
- 17:13Liban : le cessez-le-feu entre Israël et le Hezbollah est entré en vigueur
- 16:36Mikhaïl Kavelashvili, l'ex-footballeur devenu candidat présidentiel pour le parti rêve Géorgien
- 16:14Maroc : dialoguer avec TikTok pour des valeurs culturelles renforcées
- 16:13Exclusivité Walaw : Mona Morad décortique les défis et opportunités en Afrique
Suivez-nous sur Facebook
Sahara: La fiction d'une Algérie simple "partie intéressée" a trop duré
La publication commente, dans un éditorial, le message adressé début avril par SM le Roi Mohammed VI au secrétaire général de l'ONU Antonio Guterres, mettant l'accent sur la responsabilité de l’Algérie dans ce conflit.
L'éditorialiste relève que c'est sur le sol algérien que le Front polisario, dont l'armement provient des arsenaux algériens ou transite par l'Algérie, est installé.
"Sans l'aide de l'État algérien, les camps de Tindouf ne pourraient pas subsister, et sans son appui diplomatique la RASD ne siégerait pas à l'Union africaine", fait-il observer, insistant que quand on entretient, que l'on perfuse, que l'on contrôle ainsi un mouvement armé de guérilla dont le moindre déplacement est soumis à son autorisation, on n'est plus dans le cadre de la « solidarité militante » et du « soutien aux droits légitimes », mais bien dans celui de l'"instrumentalisation".
On est donc partie au conflit, aux côtés de ceux que l'on défend et que l'on utilise à la fois, soutient l'hebdomadaire, rappelant que "jamais le conflit du Sahara, qui n'a que trop duré, n'a échappé à la gestion algérienne".
Source : MAP