- 17:33Sanctions US : l’ONU défend Francesca Albanese
- 15:33Hakimi brille face au Real et revient sur son départ
- 15:00Le pétrole fléchit légèrement face à la crainte d’une offre excédentaire
- 13:00Un Algérien accusé de cyberescroquerie risque 207 ans de prison en cas d’extradition vers les États-Unis
- 12:33Surtaxe américaine de 30 % sur les exportations algériennes
- 11:27Fin de mission pour Linda Yaccarino à la tête de X
- 11:00Gaza : espoir fragile de trêve alors que les bombes continuent de tomber
- 09:46Donald Trump instaure de nouveaux droits de douane sur l’Algérie et la Libye
- 08:14Trump félicite le président libérien pour son anglais, langue pourtant officielle du pays
Sous-Rubrique États-Unis (United States)
Suivez-nous sur Facebook
Harvard : un camouflet retentissant pour les partisans du polisario
Lors d'une conférence à la Harvard Law School sur le Sahara marocain, Mouloud Said, représentant du Polisario à Washington, a vécu un moment difficile. Pensant disposer d’une tribune idéale pour défendre ses positions, il a été confronté à des étudiants marocains déterminés et bien préparés, qui ont méthodiquement démonté ses arguments.
Dès les premières interventions, le ton est donné. Un étudiant marocain questionne : "Pouvez-vous citer une seule résolution du Conseil de sécurité de l'ONU qui préconise l’indépendance comme solution ?" Un silence embarrassé s’installe, illustrant l’absence de fondements solides à la thèse séparatiste.
Les étudiants marocains rappellent alors la proposition marocaine d’autonomie, largement reconnue comme une solution crédible par la communauté internationale, ainsi que les revers diplomatiques successifs du Polisario. Ils dénoncent aussi la situation préoccupante dans les camps de Tindouf, où les droits humains sont gravement bafoués.
Face à cette avalanche d’arguments, les intervenants du Polisario peinent à répondre et tentent de recentrer le débat sur d'autres sujets. Mais le mal est fait : leur crédibilité en sort fortement affaiblie.
Cet épisode à Harvard illustre une tendance de fond : le discours du Polisario ne résiste plus à une confrontation avec les faits historiques et le droit international. La question du Sahara marocain continue ainsi de s’imposer sur la scène diplomatique avec clarté et fermeté.