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Casablanca met fin aux permis de stationnement privés
La présidente du conseil municipal de Casablanca, Nabila Rmili, a signé un arrêté administratif ordonnant la suspension de la délivrance et du renouvellement des permis individuels pour la surveillance des voitures, motos et autres véhicules.
Les présidents des arrondissements de la capitale économique ont été informés de cette décision par une note administrative, dont une copie a été envoyée au wali de la région Casablanca-Settat, interdisant ainsi tout renouvellement des permis relatifs aux "parkings" privés.
Selon des sources proches du bureau directeur de la commune de Casablanca, cette initiative vise à mettre fin au chaos provoqué par les gardiens de voitures, une problématique qui suscite de nombreuses plaintes de la part des habitants et des visiteurs de la ville.
Les mêmes sources ont indiqué que la commune cherche à réduire l'influence des "gardiens de voitures" – communément appelés "les gilets jaunes" – et à optimiser les ressources financières de la ville. Parmi les solutions étudiées, il y a l’introduction généralisée de parcmètres dans les rues et zones à fort trafic, à l’instar de la zone d’Ain Diab où les gardiens de voitures imposent souvent des frais exorbitants aux automobilistes.
En outre, il est envisagé de confier la gestion des parkings et des rues occupées par les gardiens à une entreprise de développement local.
D’autres sources affirment que certains élus profitent de ce dossier à des fins personnelles et électorales, délivrant un grand nombre de permis et contribuant ainsi à l'anarchie qui sévit dans le secteur, notamment avec l’apparition des "gilets jaunes" dans divers quartiers.
Les habitants de Casablanca se plaignent régulièrement d'être victimes d'extorsion et de harcèlement de la part de personnes qui contrôlent certains quartiers, comme Ain Diab, et les obligent à payer des sommes élevées pour garer leurs véhicules.
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