- 17:40Le jardin Majorelle s’enrichit d’un pavillon éphémère pour célébrer son histoire
- 17:20 Tanger prépare la 25e édition du Festival national du film pour octobre 2025
- 16:35Marrakech célèbre l’excellence des Marocains du monde lors des trophées TMM 2025
- 16:15Carte d’identité nationale : des parlementaires plaident pour l’ajout du groupe sanguin
- 15:30Tennis africain : le Maroc sacré meilleure nation pour la 7e année consécutive
- 14:35 Week-end en forêt : La Maâmoura, un refuge prisé par les familles
- 14:10Énergie et eau : la BEI accorde 240 millions d’euros à l’ONEE pour moderniser les infrastructures marocaines
- 13:30Stokvis séduit les marchés : une dynamique boursière portée par la reprise et les grands projets
- 12:40Sécurité incendie au Maroc : une consultation publique ouverte sur 36 projets de normes techniques
Suivez-nous sur Facebook
Huelva : l'armée des fraises venue du Maroc
Chaque année, des milliers de travailleuses marocaines se rendent en Espagne pour participer à la récolte des fruits rouges, notamment des fraises. Ce phénomène, ancré dans le cadre d'une migration circulaire entre le Maroc et l'Espagne, constitue une source de revenus essentielle pour ces femmes, souvent issues de milieux défavorisés.
Selon la presse ibérique, environ 3 000 saisonnières marocaines sont arrivées dans la province de Huelva pour débuter la saison agricole. Ce contingent sera renforcé par l'arrivée progressive de 8 500 autres travailleuses, conformément à l'accord entre les deux pays. Ces ouvrières obtiendront des permis de séjour et de travail temporaires valables jusqu'au 31 décembre 2027 et commenceront la récolte en mars prochain.
La dernière réunion de coordination sur cet accord s'est tenue à Tanger en présence de hauts responsables espagnols et marocains. Parmi eux figuraient Celso González, directeur général espagnol des migrations, Aurora Díaz Rato, consule générale d'Espagne à Tanger, et Mohammed Nejjari, représentant du ministère marocain de l'Emploi.
Si certaines de ces travailleuses bénéficient de contrats réguliers, d'autres s'exposent à des situations plus précaires.
Commentaires (0)