- 20:00Nouvelle explosion de Starship : SpaceX à l’épreuve des revers répétés
- 18:00Le marché des phosphates alimentaires devrait atteindre 3,52 milliards de dollars d’ici 2030
- 17:39Israël intensifie sa rhétorique contre l’Iran
- 13:30Mondial des clubs 2025 : la FIFA vend près de 1,5 million de billets
- 12:30JD Vance rejoint Bluesky, le réseau alternatif qui séduit les anti-Trump
- 12:15Mondial des clubs : Al Hilal accroche le Real Madrid, Bounou en sauveur
- 12:14Tensions régionales : La Russie met en garde les États-Unis contre une intervention militaire en Iran
- 09:45Énergie : le Maroc trace sa voie entre soleil, gaz et hydrogène
- 16:04Trump à propos de frappes américaines sur l'Iran: « Je vais peut-être le faire, peut-être pas »
Sous-Rubrique États-Unis (United States)
Suivez-nous sur Facebook
Harvard : un camouflet retentissant pour les partisans du polisario
Lors d'une conférence à la Harvard Law School sur le Sahara marocain, Mouloud Said, représentant du Polisario à Washington, a vécu un moment difficile. Pensant disposer d’une tribune idéale pour défendre ses positions, il a été confronté à des étudiants marocains déterminés et bien préparés, qui ont méthodiquement démonté ses arguments.
Dès les premières interventions, le ton est donné. Un étudiant marocain questionne : "Pouvez-vous citer une seule résolution du Conseil de sécurité de l'ONU qui préconise l’indépendance comme solution ?" Un silence embarrassé s’installe, illustrant l’absence de fondements solides à la thèse séparatiste.
Les étudiants marocains rappellent alors la proposition marocaine d’autonomie, largement reconnue comme une solution crédible par la communauté internationale, ainsi que les revers diplomatiques successifs du Polisario. Ils dénoncent aussi la situation préoccupante dans les camps de Tindouf, où les droits humains sont gravement bafoués.
Face à cette avalanche d’arguments, les intervenants du Polisario peinent à répondre et tentent de recentrer le débat sur d'autres sujets. Mais le mal est fait : leur crédibilité en sort fortement affaiblie.
Cet épisode à Harvard illustre une tendance de fond : le discours du Polisario ne résiste plus à une confrontation avec les faits historiques et le droit international. La question du Sahara marocain continue ainsi de s’imposer sur la scène diplomatique avec clarté et fermeté.
Commentaires (0)