- 20:45Michelin lance le pneu Primacy 5 au Moyen-Orient et en Afrique
- 20:00Aeolon déploie sa première usine hors de Chine à Nador
- 19:30Quatre lionceaux de l’Atlas dans l’équipe-type de la CAN U20 2025
- 18:30Économie verte : le Maroc trace sa voie vers un développement durable et inclusif
- 18:00Gouvernance rénovée : la CGEM amorce une profonde refonte statutaire
- 17:32Chichaoua : le barrage Boulaouane franchit une étape clé avec 64 % des travaux achevés
- 17:00Maroc–Émirats : un pacte stratégique pour l’eau et l’énergie
- 16:53Ce qu’il faut retenir du discours d’Aziz Akhannouch
- 16:45Le FEC se positionne comme acteur clé de la transition financière des territoires
Suivez-nous sur Facebook
Harvard : un camouflet retentissant pour les partisans du polisario
Lors d'une conférence à la Harvard Law School sur le Sahara marocain, Mouloud Said, représentant du Polisario à Washington, a vécu un moment difficile. Pensant disposer d’une tribune idéale pour défendre ses positions, il a été confronté à des étudiants marocains déterminés et bien préparés, qui ont méthodiquement démonté ses arguments.
Dès les premières interventions, le ton est donné. Un étudiant marocain questionne : "Pouvez-vous citer une seule résolution du Conseil de sécurité de l'ONU qui préconise l’indépendance comme solution ?" Un silence embarrassé s’installe, illustrant l’absence de fondements solides à la thèse séparatiste.
Les étudiants marocains rappellent alors la proposition marocaine d’autonomie, largement reconnue comme une solution crédible par la communauté internationale, ainsi que les revers diplomatiques successifs du Polisario. Ils dénoncent aussi la situation préoccupante dans les camps de Tindouf, où les droits humains sont gravement bafoués.
Face à cette avalanche d’arguments, les intervenants du Polisario peinent à répondre et tentent de recentrer le débat sur d'autres sujets. Mais le mal est fait : leur crédibilité en sort fortement affaiblie.
Cet épisode à Harvard illustre une tendance de fond : le discours du Polisario ne résiste plus à une confrontation avec les faits historiques et le droit international. La question du Sahara marocain continue ainsi de s’imposer sur la scène diplomatique avec clarté et fermeté.
Commentaires (0)