- 20:00Benslimane : 200 jeunes femmes honorées à la fin de leur service militaire à la Base aérienne de soutien général
- 19:55MG Motor dévoile le nouveau MG ZS Full Hybrid+, un SUV plus technologique et performant
- 19:34Hajar Dinar nommée directrice de la communication de Bayer pour l’Afrique du Nord
- 19:16Lamine Yamal visé par une enquête après la polémique de son anniversaire
- 18:20DGSN : Plus de 678 000 élèves sensibilisés
- 18:16Achraf Hakimi impose sa candidature au Ballon d’or après une saison aboutie
- 17:56GIZ Maroc et Sofrecom s’allient pour renforcer les compétences digitales des jeunes talents
- 17:00Sidi Ifni adopte l’argile pour une pêche artisanale plus durable
- 16:30Rennes et Wolfsburg se disputent Zakaria El Ouahdi, révélation marocaine de Genk
Suivez-nous sur Facebook
Le Centre Moussalaha boucle un cycle de réinsertion
Le Centre Moussalaha pour la réhabilitation et la réinsertion des détenus a clôturé, le 20 juin à la prison locale de Salé, un cycle doctrinal de six mois ayant mobilisé 345 participants incarcérés dans différentes prisons marocaines pour des faits liés au terrorisme.
Ce programme, centré sur la lutte contre l’idéologie extrémiste, vise à renforcer la culture du juste milieu et à diffuser les valeurs de tolérance et de modération. Il s’inscrit dans une stratégie nationale de déradicalisation, portée par le Centre en coordination avec la Délégation générale à l’administration pénitentiaire (DGAPR).
Composé de douze modules, le cycle a été animé par des experts affiliés à l’Association Mohammedienne des Oulémas (ARMO). Les conférences ont abordé des thèmes variés, allant de la dénonciation de l’extrémisme à l’interprétation modérée des textes religieux, en passant par les notions de dogme, de foi et de droit religieux.
Selon les responsables du programme, plusieurs détenus ont exprimé leur volonté de poursuivre cette expérience à travers de nouveaux cycles ou projets similaires. Un signe encourageant pour les promoteurs de cette démarche.
La cérémonie de clôture s’est tenue en présence de responsables institutionnels, de chercheurs et d’experts ayant contribué à cette initiative, qui se veut un modèle en matière de réinsertion des personnes radicalisées.