Ils ont assisté à la poignée de main historique sur leurs écrans, et beaucoup ont applaudi. Pour autant, les Sud-Coréens se veulent prudent. Depuis l'armistice de 1953, bien souvent, ils ont eu de faux espoirs. Aujourd'hui, les symboles ne suffisent plus, ils attendent de juger sur pièces.
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Sommet intercoréen : les réactions au sud
"Voir les deux dirigeants se rencontrer, c'est un peu comme si la réunification avait déjà eu lieu, confie Lee Sang-jung, un habitant de Séoul. Mais je suis aussi inquiet et je crains que nous soyons dupés. J'espère que cela aboutira à un résultat positif mais en même temps je suis préoccupé."
A Goyang, à une cinquantaine de kilomètres de la zone dite démilitarisée où le sommet s'est tenu, un groupe d'enthousiastes est venu poser devant la presse avec une banderole en faveur de la réunification.
Pour d'autres manifestants, une éventualité inenvisageable, après 65 ans de trajectoires aussi diamétralement opposées entre les deux Corées. Ce groupe manifestait dans la ville frontalière de Paju, appelant ni plus ni moins à rayer la Corée du nord de la carte.
Comme eux, une bonne partie des générations nées après le conflit - qui n'ont connu que la division et le climat de guerre froide - se contenteraient bien d'un statu quo apaisé.
Source : Euronews
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