- 15:04Casablanca se réapproprie l’art contemporain avec le salon national des artistes émergents
- 15:01La cour des comptes avance dans la transition numérique des juridictions financières
- 15:00Plasturgie : un avenir prometteur pour les TPME et startups du secteur
- 15:00Découverte d'un des plus grands gisements d'étain au monde près de Meknès
- 14:30Mazraoui, l'atout Marocain de Manchester United
- 14:10Barcelone : Une tempête de grêle perturbe l’aéroport et paralyse les transports
- 14:00le Dollar en baisse à la veille des élections présidentielles Américaines
- 11:18Intempéries à Barcelone : Annulations massives de vols et perturbations des transports
- 11:04Le SNPM appelle à l'adoption rapide des lois essentielles pour le Conseil national de la presse
Suivez-nous sur Facebook
Le Maroc classé parmi les pays les plus tristes au monde !
Toujours absent de la liste des 50 premiers pays de l’indice du bonheur publié annuellement sous la supervision des Nations Unies depuis une décennie, le Maroc se classe en effet à la 100ème place cette année après avoir obtenu 5.060 degrés sur 10, tandis que la Finlande est en tête du classement pour la cinquième année consécutive.
Le Maroc a chuté de 11 degrés dans le classement, passant de la 89ème place mondiale, en 2019, à la 100ème sur 146 pays en 2022, et classé au niveau de l’Afrique du Nord à la troisième place, derrière la Libye (86ème au niveau mondial) et l’Algérie (96ème au niveau mondial), la Tunisie au 120ème rang et la Mauritanie au 133ème rang mondial.
La Finlande a conservé le titre de «pays le plus heureux du monde» avec une différence significative par rapport au reste du monde, et le Danemark a également conservé la deuxième place, suivi de l’Islande à la troisième place, puis de la Suisse quatrième, les Pays-Bas étant à la cinquième place.
Le rapport, annuel publié sous la supervision des Nations Unies depuis 2012, est basé sur des données de sondages dans le monde entier concernant l’évaluation des personnes sur leur vie dans plus de 150 pays, leur perception de leur niveau de bonheur et les résultats comparés au PIB du pays et des appréciations liées au niveau de solidarité, de liberté individuelle et de corruption, pour donner une appréciation sur la joie de vivre de leurs populations en fonction des réponses forcément subjectives des échantillons sondés.