- 12:37 Al Hoceima : une opération sécuritaire déjoue une tentative d’immigration clandestine
- 12:15Commerce : Le Maroc, un leader régional en matière de réformes commerciales selon l'OCDE
- 11:49Bilan tragique à Gaza : Plus de 50 000 morts depuis le début du conflit avec Israël
- 11:30Le Maroc envisage d'intégrer le système de défense aérienne Akash-NG pour renforcer sa sécurité
- 11:21Somalie : Un accord stratégique avec les États-Unis pour le contrôle d’infrastructures clés
- 10:37Solidarité à Al Qods : l’agence Bayt Mal Al Qods Acharif dévoile son bilan du Ramadan
- 10:15Sefrou : Distribution de dons royaux pour soutenir les familles vulnérables et les malades
- 10:12La controverse Ghibli : L’IA peut-elle capturer l’âme de l’animation japonaise ?
- 09:51Tanger parmi les meilleures destinations touristiques pour les voyageurs allemands en 2025
Suivez-nous sur Facebook
Trump met la pression sur l'Égypte et la Jordanie
Le président américain Donald Trump a déclaré lundi qu'il pourrait suspendre l'aide financière à l'Égypte et à la Jordanie si ces pays refusaient toujours d'accueillir des Palestiniens de Gaza. Cette annonce, perçue comme une nouvelle pression diplomatique, a immédiatement suscité des réactions fermes du Caire et d'Amman.
Un ultimatum controversé
Lors d'une conférence de presse à Washington, Trump a affirmé que "ces pays doivent assumer leur part de responsabilité dans la crise gazaouie". Il a suggéré qu'une révision de l'enveloppe d'aide américaine pourrait être envisagée si l'Égypte et la Jordanie persistent dans leur refus.
En réponse, le gouvernement égyptien a publié un communiqué réitérant son opposition à tout déplacement forcé des Palestiniens. Une source diplomatique à Amman a, quant à elle, indiqué que la Jordanie considère cette proposition comme une menace pour la stabilité régionale.
Une stratégie risquée
Cette dernière déclaration de Donald Trump s'inscrit dans sa politique de rupture avec les approches diplomatiques traditionnelles au Moyen-Orient. Sa volonté d'imposer un compromis par la pression financière pourrait fragiliser les relations entre les États-Unis et leurs alliés arabes, tout en aggravant la situation humanitaire à Gaza.
Commentaires (0)