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Bouteflika parti, les Algériens attendent plus
Célébrations dans les rues d'Alger... Drapeaux, musique, feux d'artifices, cette fois-ci, les Algériens y croient.
A Alger, un millier d'entre eux ont accueilli la nouvelle de la démission du président algérien Abdelaziz Bouteflika avec joie et soulagement après six semaines de contestations pacifiques et les pressions exercées par l'armée.
"Si on doit se contenter de la chute d'un individu, on n'ira pas très loin, notre combat réel, c'est d'avoir un état de droit, un état d'institution, un état réellement démocratique, une nouvelle ère, une deuxième république avec une souveraineté populaire réelle."
"Ce que nous attentons, c'est le jour où Monsieur Bouteflika et toute sa famille et ses amis seront arrêtés."
Bouteflika, qui en février entendait encore briguer un cinquième mandat, "a donc avisé officiellement mardi soir le Conseil constitutionnel de la fin de son mandat de président de la République". Quelques heures avant, le chef d'Etat major, Ahmed Gaïd Salah, qui avait déjà demandé cette démission, avait réuni tous les plus hauts gradés de l'armée.
Des images de Bouteflika, vêtu d'une gandoura beige, affaibli, en fauteuil roulant, remettant sa lettre de démission au président du conseil constitutionnel, ont été diffusées à la télévision nationale.
C'est désormais Abdelkader Bensalah, 77 ans, président du conseil de la nation, chambre haute du parlement, qui assure l'intérim. Il est chargé d'organiser une élection présidentielle dans un délai maximum de 90 jours.
Source : Euronews
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