- 21:07Meeting de Monaco (Ligue de diamant): Soufiane El-Bakkali remporte le 3.000m steeple
- 21:06Lavrov en visite officielle en Corée du Nord pour renforcer la coopération avec Pyongyang
- 20:39OCP renforce ses capacités internes avec l'achat de PwC Business Services
- 20:13Enquête ouverte contre X pour manipulation d'algorithme et ingérence étrangère
- 19:30Samsung redéfinit l'expérience du gaming au Morocco Gaming Expo 2025
- 19:03Nouvelle appli CMR : plus simple, plus sûre, plus proche
- 18:06Le pétrole repart à la hausse sur fond de tensions Russie-USA
- 17:00Gaza : l’ONU alerte sur les morts massives autour des sites d’aide humanitaire
- 16:04Finale du Mondial 2030 : le Santiago Bernabeu pas encore confirmé
Suivez-nous sur Facebook
Chute des demandes d'asile en Europe en 2017
Les demandes d'asile à travers l'Europe ont chuté de 44% en 2017. C'est le constat que dresse le bureau européen d'appui pour l'Asile dans son rapport annuel publié ce lundi. Et la tendance se poursuit pour les quatre premiers mois de cette année.
La plupart des arrivées se sont concentrées sur les routes de la Méditerranée centrale et orientale, avec une "recrudescence sans précédent" en Méditerranée occidentale.
Ce sont les Syriens, les Irakiens et les Afghans qui demandent majoritairement l'asile en Europe, suivis par les Nigérians et les Pakistanais.
Et c'est l'Allemagne qui a reçu en 2017 le plus grand nombre de demandes d'asile avec l'Italie et la France.
Pour la sixième année consécutive, l'Allemagne est donc en tête des demandes, même si ces dernières ont décru de 70% par rapport à 2016.
Egalement selon ce rapport, les pays européens ont davantage refusé de donner l'asile. En 2017, ils ont été près de 534 000 à se voir refuser l'asile en Europe. C'est 100 000 de plus qu'en 2016.
Dans un tweet, le Commissaire européen à la Migration, Dimitris Avramopoulos s'est félicité de cette baisse significative des demandes d'asile. "Cela montre encore une fois que la situation s'améliore, mais nous devons rester vigilant" a-t-il déclaré.
Ce constat intervient en pleine discorde sur la réforme de la politique migratoire européenne et après la polémique sucitée par le refus de l'Italie et de Malte d'accueilllir les migrants du bateau humanitaire l'Aquarius.
Les Chefs d'Etat et de gouvernement européens doivent en discuter pour trouver des points d'accords lors du sommet du 28 et 29 juin prochain.
Source : Euronews