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La Côte d’Ivoire enregistre 28 cas de MPOX, dont un décès
La Côte d’Ivoire a recensé 28 cas de mpox, dont un décès, selon une annonce faite mardi par l’Institut national de l’hygiène publique (INHP). Cette information, relayée par l’AFP, souligne une augmentation significative par rapport au bilan précédent du 1er août, qui faisait état de 6 cas non mortels.
Le docteur Daouda Coulibaly, de l’INHP, a confirmé que « 28 cas confirmés dont un décès » ont été enregistrés à Abidjan. Malgré cette hausse, il estime que « la situation n’est pas alarmante ». « On est au début d’une épidémie naissante, il n’y a pas de flambée », a-t-il précisé.
La surveillance épidémiologique a été renforcée pour contenir la propagation du virus. « Il faut casser les chaînes de transmission, identifier les contacts des cas, les isoler et les suivre », a déclaré M. Coulibaly.
Les premiers cas de mpox identifiés cette année en Côte d’Ivoire correspondaient à la souche de la précédente épidémie mondiale survenue en 2022, le clade 2. Cependant, des analyses sont en cours pour déterminer la souche des nouveaux cas.
Depuis la résurgence de cas de mpox en Afrique en début d’année, un nouveau variant plus transmissible et plus mortel, le clade 1b, a été identifié en République démocratique du Congo (RDC). La RDC est de loin le pays le plus touché, avec au moins 16.000 cas dont 548 mortels. Des cas de clade 1b ont également été détectés dans d’autres pays d’Afrique de l’Est et en Suède.
La recrudescence du mpox en Afrique a conduit l’Organisation mondiale de la santé (OMS) à décréter le 14 août une urgence de santé publique de portée internationale, son plus haut niveau d’alerte sanitaire, déjà déclenchée en 2022.
Anciennement appelé variole du singe, le virus a été découvert chez l’homme en 1970 en RDC avec la diffusion du sous-type clade 1, dont le nouveau variant est une mutation.
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