- 14:30Maroc : la Suisse met en garde ses voyageurs contre les dangers de la rage
- 14:29Le diesel dépasse 11 DH/L dans plusieurs stations, l’essence inchangée
- 14:20Berkane, fer de lance de l’intelligence artificielle au Maroc
- 13:45Vingt-quatre morts et près de 3.000 blessés sur les routes en une semaine
- 13:30Amman lance une mission économique à Rabat pour renforcer ses liens avec le Maroc
- 13:27Decathlon Maroc : Isabelle Quenouillère sacrée Best Woman CEO
- 13:21Casablanca relance sa campagne estivale « Sayf Nadif » pour une ville plus propre
- 13:00Dentisterie illégale : alerte sanitaire au Maroc
- 12:00Maroc et Chine : un partenariat santé au service de l’Afrique
Suivez-nous sur Facebook
Fuite de données : Tawtik.ma mis en cause
À la suite d’une fuite de données survenue le 2 juin 2025 et relayée sur les réseaux sociaux, la Direction générale de la sécurité des systèmes d’information (DGSSI) a livré les résultats de son enquête. L’intrusion numérique a été attribuée à des failles techniques dans la plateforme notariale Tawtik.ma, opérée par le Conseil national de l’ordre des notaires.
Selon le communiqué officiel, les données compromises proviennent exclusivement de cette plateforme, tandis que les systèmes de l’Agence nationale de la conservation foncière, du cadastre et de la cartographie (ANCFCC) sont restés intacts, sans aucune trace de piratage.
Face à la situation, Tawtik.ma a été mise hors ligne temporairement. L’objectif est de corriger les vulnérabilités détectées avant de permettre une remise en service sécurisée.
La DGSSI indique également avoir renforcé les mécanismes de sécurité existants et mis en place des mesures préventives supplémentaires, conformément aux normes en vigueur.
Enfin, les autorités appellent les citoyens à la vigilance. Tout contenu suspect ou criminel sur internet peut être signalé via la plateforme dédiée www.e-blagh.ma, notamment les cas touchant aux droits des enfants, les menaces ou les incitations à la violence.
Cet incident relance les discussions autour de la protection des données personnelles et de la nécessité de renforcer la sécurité des plateformes numériques publiques.