- 11:42Inwi lance la campagne #Lbess_touni pour soutenir les Lionnes de l’Atlas
- 11:37Le Maroc frappé par un “dôme de chaleur” : des températures records expliquées par la DGM
- 11:30Les actes adoulaires au cœur d’un séminaire à Rabat : entre contrôle et efficience judiciaire
- 11:11Crise silencieuse dans la filière laitière : quand le lait ne coule plus à flot
- 11:11Devises vs Dirham: les cours de change de ce jeudi 3 juillet
- 11:01Le Maroc s’apprête à accueillir une délégation brésilienne pour discuter d’un partenariat autour du KC-390
- 11:00Zagora : le ministère accélère la riposte face à la crise hydrique
- 10:53Xiaomi crée sa filiale au Maroc pour renforcer sa présence sur un marché en pleine expansion
- 10:45Go Siyaha Days fait escale à Saïdia pour dynamiser l’investissement touristique dans l’Oriental
Suivez-nous sur Facebook
Fuite de données : Tawtik.ma mis en cause
À la suite d’une fuite de données survenue le 2 juin 2025 et relayée sur les réseaux sociaux, la Direction générale de la sécurité des systèmes d’information (DGSSI) a livré les résultats de son enquête. L’intrusion numérique a été attribuée à des failles techniques dans la plateforme notariale Tawtik.ma, opérée par le Conseil national de l’ordre des notaires.
Selon le communiqué officiel, les données compromises proviennent exclusivement de cette plateforme, tandis que les systèmes de l’Agence nationale de la conservation foncière, du cadastre et de la cartographie (ANCFCC) sont restés intacts, sans aucune trace de piratage.
Face à la situation, Tawtik.ma a été mise hors ligne temporairement. L’objectif est de corriger les vulnérabilités détectées avant de permettre une remise en service sécurisée.
La DGSSI indique également avoir renforcé les mécanismes de sécurité existants et mis en place des mesures préventives supplémentaires, conformément aux normes en vigueur.
Enfin, les autorités appellent les citoyens à la vigilance. Tout contenu suspect ou criminel sur internet peut être signalé via la plateforme dédiée www.e-blagh.ma, notamment les cas touchant aux droits des enfants, les menaces ou les incitations à la violence.
Cet incident relance les discussions autour de la protection des données personnelles et de la nécessité de renforcer la sécurité des plateformes numériques publiques.
Commentaires (0)