- 16:31CIH Bank lance une augmentation de capital de plus de 1,4 milliard de dirhams
- 16:30HyMaroc Limited : une nouvelle alliance britannique pour l’exploration de l’hydrogène naturel au Maroc
- 16:21Turkish Airlines célèbre 20 ans de présence à Casablanca
- 16:09Le Chef du gouvernement préside la réunion du Conseil de surveillance du Crédit Agricole du Maroc
- 16:00Tanger-Tarifa : une liaison maritime électrique zéro émission prévue pour 2027
- 15:30Entrepreneuriat jeune : Al Amana lance la phase II du programme « Opportunité Jeunesse »
- 15:00Accord France-Maroc : un souffle pour les transferts MRE
- 14:40Karim Zidane plaide pour une alliance Maroc–États-Unis–Afrique tournée vers l’avenir
- 14:30Maroc–Asean : un nouveau cap stratégique
Suivez-nous sur Facebook
Le Maroc modernise la gouvernance de ses entreprises publiques
Le Maroc franchit une nouvelle étape dans la modernisation de la gouvernance de ses établissements et entreprises publics (EEP). À l’occasion d’un séminaire de haut niveau organisé à Rabat, Abdellatif Zaghnoun, Directeur général de l’Agence Nationale de Gestion Stratégique des Participations de l’État (ANGSPE), a réaffirmé l’ambition d’installer un modèle de gouvernance fondé sur la performance, la transparence et la durabilité.
Ce modèle, aligné sur les nouvelles lignes directrices de l’Organisation de Coopération et de Développement Économiques (OCDE), entend renforcer la position stratégique de l’État en tant qu’actionnaire, en améliorant la gestion et le pilotage des entités publiques. Lancé en septembre 2024, le chantier de transformation s’appuie sur plusieurs leviers structurants, dont l’adoption d’un nouveau Code de Gouvernance et la mise en place du label national GUIDE (Gouvernance, Utilité, Intégrité, Durabilité, Efficacité).
Cette réforme portée conjointement par le ministère de l’Économie et des Finances et l’OCDE vise à créer un cadre cohérent, propice à une gestion exemplaire des ressources publiques. Elle prévoit notamment une professionnalisation accrue des conseils d’administration, une digitalisation des processus, ainsi qu’un renforcement des mécanismes d’audit et de reddition des comptes.
L’objectif est clair : faire converger les pratiques nationales avec les standards internationaux, tout en instaurant un dialogue renouvelé entre les EEP, l’État et les différents partenaires économiques. Ce mouvement s’inscrit dans une vision globale de développement durable et de transformation de l’action publique, afin d’optimiser la contribution des EEP au progrès économique et social du Royaume.
Commentaires (0)