- 20:17566 millions de DH pour révolutionner les transports en commun à Fès
- 19:23Casablanca accueille le Salon Auto Occasion 2025
- 19:00Déficit de liquidité bancaire réduit en juin 2025
- 18:23Hamza Igamane : Le joyau marocain convoité par les clubs anglais
- 18:14La région Souss-Massa se mobilise pour préserver ses ressources en eau
- 18:00Escalade dans la cyberguerre : Phantom Atlas infiltrent Algérie Télécom
- 17:45Viande hors de prix au Maroc : une sonnette d’alarme pour le secteur de l’élevage
- 17:39Hydrogèn vert africain : Des opportunités réelles mais une compétitivité fragile
- 16:45Agadir : retard dans la réception des projets du PDU 2020-2024
Suivez-nous sur Facebook
Harvard : un camouflet retentissant pour les partisans du polisario
Lors d'une conférence à la Harvard Law School sur le Sahara marocain, Mouloud Said, représentant du Polisario à Washington, a vécu un moment difficile. Pensant disposer d’une tribune idéale pour défendre ses positions, il a été confronté à des étudiants marocains déterminés et bien préparés, qui ont méthodiquement démonté ses arguments.
Dès les premières interventions, le ton est donné. Un étudiant marocain questionne : "Pouvez-vous citer une seule résolution du Conseil de sécurité de l'ONU qui préconise l’indépendance comme solution ?" Un silence embarrassé s’installe, illustrant l’absence de fondements solides à la thèse séparatiste.
Les étudiants marocains rappellent alors la proposition marocaine d’autonomie, largement reconnue comme une solution crédible par la communauté internationale, ainsi que les revers diplomatiques successifs du Polisario. Ils dénoncent aussi la situation préoccupante dans les camps de Tindouf, où les droits humains sont gravement bafoués.
Face à cette avalanche d’arguments, les intervenants du Polisario peinent à répondre et tentent de recentrer le débat sur d'autres sujets. Mais le mal est fait : leur crédibilité en sort fortement affaiblie.
Cet épisode à Harvard illustre une tendance de fond : le discours du Polisario ne résiste plus à une confrontation avec les faits historiques et le droit international. La question du Sahara marocain continue ainsi de s’imposer sur la scène diplomatique avec clarté et fermeté.
Commentaires (0)