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Sommet africain : l’Algérie échoue à faire reconnaître le Polisario
Nouvel épisode dans les tentatives diplomatiques infructueuses de l’Algérie en faveur du Polisario. Mardi 12 août, lors de la session inaugurale du Sommet des partis politiques africains au Centre des conférences d’Accra, le régime algérien a tenté d’introduire discrètement un dirigeant du mouvement séparatiste dans les rangs de sa délégation.
L’intéressé, Abdelkader Taleb Omar, autoproclamé « ministre de l’Éducation » de la soi-disant RASD et ancien représentant du Polisario à Alger, a pris place derrière une pancarte artisanale en noir et blanc, sans drapeau national, en net décalage avec les plaques officielles colorées des autres pays participants. Une mise en scène maladroite que l’« agence de presse sahraouie » a soigneusement évitée de mentionner dans ses publications, signe du caractère improvisé et non officiel de cette présence.
Cette manœuvre n’est pas sans rappeler un précédent survenu l’an dernier à Tokyo, lors du sommet Afrique–Japon (TICAD 8), où un représentant du Polisario avait tenté d’intégrer la rencontre muni d’un passeport algérien. L’opération avait été stoppée grâce à l’intervention de la délégation marocaine, et le ministère japonais des Affaires étrangères avait confirmé que ce « pseudo-État » n’avait jamais été invité.
Depuis que l’Union africaine a limité la participation à ses événements aux seuls États reconnus par l’ONU, le Polisario multiplie les tentatives d’infiltration dans des rencontres internationales afin de créer artificiellement des « preuves » de reconnaissance. Mais ces opérations se soldent par des échecs répétés, alors que le Maroc continue de renforcer sa souveraineté sur le Sahara, laissant à ses adversaires des succès purement symboliques et une crédibilité amoindrie sur la scène africaine et internationale.