- 20:00Aeolon déploie sa première usine hors de Chine à Nador
- 19:30Quatre lionceaux de l’Atlas dans l’équipe-type de la CAN U20 2025
- 18:30Économie verte : le Maroc trace sa voie vers un développement durable et inclusif
- 18:00Gouvernance rénovée : la CGEM amorce une profonde refonte statutaire
- 17:32Chichaoua : le barrage Boulaouane franchit une étape clé avec 64 % des travaux achevés
- 17:00Maroc–Émirats : un pacte stratégique pour l’eau et l’énergie
- 16:53Ce qu’il faut retenir du discours d’Aziz Akhannouch
- 16:45Le FEC se positionne comme acteur clé de la transition financière des territoires
- 16:42TGCC renforce sa présence au Moyen-Orient
Suivez-nous sur Facebook
Justice et polémique autour du streamer Ilyas El Maliki
Ilyas El Maliki, l’un des streamers les plus suivis au Maroc, se retrouve de nouveau dans le viseur de la justice. Bien que les plaintes pour « propagation de la haine raciale » déposées par des personnalités amazighs aient été retirées, le créateur de contenu fait face à deux nouvelles accusations. Cette série de complications judiciaires met en lumière les défis et les tensions autour de l’influence croissante des personnalités en ligne au Maroc.
Hier, les avocats des plaignants et ceux d’El Maliki se sont réunis pour une réconciliation, aboutissant au retrait des accusations liées aux propos envers la communauté amazighe. Cependant, ce mardi, le streamer s’est retrouvé devant le parquet d’El Jadida pour répondre à deux autres plaintes, notamment celle de Hamza Abourazzouk, ancien joueur de football professionnel et de Simo Bourkadi, youtubeur connu. Abourazzouk n’a pas accepté de retirer sa plainte, malgré les tentatives de conciliation entreprises.
Bourkadi, de son côté, accuse El Maliki de diffamation. Les tensions entre les deux influenceurs avaient éclaté sur la corniche d’El Jadida lors d’une altercation filmée et largement partagée sur les réseaux sociaux. La scène a alimenté les débats sur la responsabilité des influenceurs en matière de contenu et de comportement public. Bourkadi affirme que cette rencontre a eu des répercussions néfastes sur sa réputation.
El Maliki, qui a été arrêté après plusieurs plaintes et un mandat d’arrêt national émis en mai dernier, est libéré sous conditions. Sa garde à vue a néanmoins été prolongée afin d’approfondir l’enquête. Cette situation relance le débat autour des responsabilités et des dérives potentielles de la célébrité digitale au Maroc.
Commentaires (0)