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Peines alternatives : la DGAPR dément des informations erronées
La Délégation générale à l’administration pénitentiaire et à la réinsertion (DGAPR) a formellement démenti, lundi 25 août, les informations relayées par certains sites concernant l’application de la loi 43.22 relative aux peines alternatives. Dans un communiqué, l’institution a dénoncé des « erreurs » et « interprétations incorrectes », réaffirmant avoir déjà pris les mesures nécessaires pour la mise en œuvre de ce dispositif.
La DGAPR souligne avoir mobilisé des moyens humains et techniques, notamment en désignant des fonctionnaires dédiés au suivi des peines alternatives et en assurant leur formation. S’agissant de la surveillance électronique, une plateforme nationale a été déployée et des bracelets électroniques sont d’ores et déjà disponibles pour le suivi des condamnés.
Pour les autres peines alternatives, qui requièrent une coordination interministérielle, l’administration rappelle que l’entrée en vigueur de la loi a coïncidé avec la période estivale, ce qui a ralenti la finalisation des conventions nécessaires. La DGAPR assure toutefois qu’elle intensifiera, dans les prochains jours, la concertation avec l’ensemble des secteurs concernés afin de garantir une application effective et complète de la loi.