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Plusieurs ambassades d'Israël annoncent leur fermeture au public
À la suite des frappes de grande ampleur menées par Israël contre des installations militaires et nucléaires en Iran dans la nuit de jeudi à vendredi, plusieurs ambassades israéliennes à travers le monde ont annoncé leur fermeture temporaire au public.
Sur les sites officiels de représentations diplomatiques israéliennes dans des pays tels que la France, les États-Unis, le Royaume-Uni, l’Allemagne, la Russie, l’Ukraine, les Pays-Bas, la Suède, la Norvège, le Nigeria et le Ghana, un message identique a été publié : « À la lumière des récents développements, les missions israéliennes dans le monde seront fermées et les services consulaires ne seront pas fournis jusqu’à nouvel ordre. »
Cette mesure de précaution intervient alors que Téhéran a vivement réagi à l’opération israélienne, la qualifiant de « déclaration de guerre ». L’offensive, sans précédent par son ampleur, a visé plusieurs cibles stratégiques, dont le site souterrain d’enrichissement d’uranium de Natanz, situé au centre de l’Iran.
Parmi les victimes figurent des figures de proue du commandement militaire iranien : le chef d’état-major de l’armée, le commandant des Gardiens de la Révolution ainsi que le chef de la force aérospatiale de cette puissante armée idéologique. Le bilan humain et symbolique de cette attaque pourrait profondément bouleverser l’équilibre déjà fragile de la région.
Alors que les tensions atteignent un niveau critique, les appels à la désescalade se multiplient. Les Nations Unies, l’Union européenne, la Chine et plusieurs capitales occidentales exhortent les deux parties à faire preuve de retenue et à privilégier la voie diplomatique.
Le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, a toutefois annoncé que l’opération militaire en cours pourrait « durer de nombreux jours », renforçant les inquiétudes d’un conflit prolongé et potentiellement régionalisé.
Face à un risque accru de représailles contre ses intérêts à l’étranger, Israël semble privilégier la prudence diplomatique en verrouillant temporairement l’accès à ses représentations diplomatiques, dans un contexte où chaque geste compte pour éviter l’embrasement.
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