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La statue de Macron volée au musée Grévin
La capitale française s’est réveillée avec une étrange nouvelle : la statue de cire du président Emmanuel Macron a disparu du musée Grévin. Un acte prémédité, orchestré par trois individus se faisant passer pour des militants écologistes, selon les premières informations recueillies par les forces de l’ordre.
L’opération a eu lieu en pleine matinée, dans l’enceinte de ce musée emblématique du 9e arrondissement, connu pour abriter les répliques en cire de nombreuses personnalités françaises et internationales. D’après une source policière citée par l’AFP, les auteurs présumés du vol — deux femmes et un homme — se sont d’abord introduits dans les lieux en tant que simples visiteurs.
Après une rapide transformation vestimentaire dans une zone peu surveillée, les trois individus ont revêtu des habits d’ouvriers, trompant ainsi la vigilance du personnel. Ils ont ensuite localisé la statue, estimée à 40.000 euros, et l’ont enveloppée dans une couverture avant de quitter les lieux par une sortie de secours.
Une revendication floue, des soupçons qui planent
Les suspects se seraient réclamés du mouvement écologiste Greenpeace, bien que l’organisation n’ait pas officiellement confirmé son implication. Interrogée à ce sujet, la police reste prudente et poursuit ses investigations pour établir la véracité de cette revendication. Le musée Grévin, quant à lui, n’a pas encore commenté publiquement l’incident, préférant laisser les autorités traiter l’affaire.
Un incident qui relance la question de la sécurité dans les musées
Ce vol soulève une nouvelle fois la question de la sécurité dans les établissements culturels parisiens. Comment une telle opération, impliquant un objet aussi encombrant, a-t-elle pu être menée à bien sans alerter le personnel ou les systèmes de surveillance ? Une enquête interne a été ouverte par la direction du musée pour faire la lumière sur d’éventuelles failles de sécurité.
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