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Le Maroc déjoue une manœuvre algérienne pour inclure le polisario dans la TICAD
Le Maroc a réussi à contrecarrer une tentative de l'Algérie d'introduire le Polisario lors d'une réunion préparatoire à la huitième édition du sommet de la Conférence internationale de Tokyo sur le développement en Afrique (TICAD), qui s'est tenue vendredi à Tokyo. Cette manœuvre visait à impliquer le Japon dans le conflit du Sahara marocain en faisant passer un séparatiste pour un membre de la délégation algérienne.
Le représentant du Polisario, muni d’un passeport diplomatique algérien, a réussi à pénétrer dans la salle de réunion en prétendant faire partie de la délégation algérienne. Cependant, son intervention a été de courte durée. Lors de la réunion, il a dévoilé une pancarte portant le nom de la prétendue « République sahraouie » de Tindouf, ce qui a immédiatement provoqué la réaction de la délégation marocaine. Les autorités japonaises ont rapidement intervenu, clarifiant qu'aucune invitation n'avait été adressée au Polisario, conformément à la politique du Japon qui invite uniquement les États membres de l'Organisation des Nations Unies.
L'incident a été amplifié par les médias algériens et les leaders séparatistes, qui ont tenté de présenter cette présence comme une « victoire diplomatique ». Cette manœuvre visait également à contourner la décision récente de l'Union africaine interdisant la participation aux sommets internationaux des entités non membres de l'ONU.
Ce scénario rappelle une précédente affaire de falsification de documents par le Polisario, lorsqu'en 2021, Brahim Ghali était entré en Espagne avec des documents d'identité falsifiés sous un nom différent, provoquant une crise diplomatique entre Rabat et Madrid. Cette crise avait conduit au soutien espagnol du plan d'autonomie pour le Sahara marocain.
L'incident de Tokyo met en lumière les efforts des adversaires du Maroc pour manipuler l'image internationale du conflit et leurs tentatives continues pour projeter une fausse impression de soutien au séparatisme, malgré les revers diplomatiques et militaires rencontrés par le Polisario.
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