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Des Marocains estiment que la digitalisation diminue la corruption dans les administrations
Une récente enquête révèle que 71 % des Marocains croient fermement que la digitalisation contribue à la réduction de la corruption au sein des administrations publiques. Parmi eux, 55 % jugent son impact comme considérable, tandis que 16 % le perçoivent de manière modérée. Cette perception optimiste souligne l’adhésion croissante aux réformes numériques initiées par le gouvernement.
L’analyse des données met en lumière que les jeunes adultes, surtout ceux âgés de 25 à 34 ans, sont les plus convaincus : 78 % d'entre eux voient dans la numérisation un outil efficace pour assainir l’administration. Cette génération, habituée aux technologies modernes, semble attendre des solutions innovantes face à des défis persistants.
Les disparités géographiques sont également notables. 79 % des citadins estiment que la digitalisation réduit la corruption, contre 71 % des ruraux. Cette différence peut s’expliquer par l’accès plus aisé aux technologies en milieu urbain, où l'expérience des services administratifs en ligne est plus courante.
En termes de classes socio-professionnelles, 74 % des employés et ouvriers (classe C) partagent cette opinion, montrant une large consensus sur l’importance de la digitalisation dans la lutte contre la corruption. Toutefois, environ 12 % des sondés restent sceptiques, soulignant la nécessité de réformes structurelles plus profondes et d’une culture de responsabilité au sein des administrations.
Dans l’ensemble, l’enquête révèle un sentiment d’espoir parmi la population marocaine. Alors que le pays avance vers une transformation numérique, il est essentiel de tenir compte des préoccupations exprimées et d’adapter les initiatives pour maximiser leur impact.