- 19:30Jidar 2025 : Rabat fête 10 ans de street art avec une édition haute en couleurs
- 18:35Lina Beza s'impose en reine du tennis junior africain
- 17:40Yémen : l’ONU exprime sa vive inquiétude après des frappes américaines meurtrières sur un port stratégique
- 17:34"Without trust, there can be no genuine peace…"
- 17:15Quand TikTok affole le marché : le succès d’un chocolat émirati provoque une pénurie mondiale de pistaches
- 16:41Le "financier de banlieue" en difficulté : l’entreprise textile de Rodolphe Pedro menacée de faillite au Maroc
- 16:20Essaouira : 430 artisans marocains formés à l’innovation textile grâce à un programme soutenu par l’UNESCO
- 15:40Séisme d’Al Haouz : les victimes dénoncent une gestion inéquitable et opaque de l’aide
- 15:15Morocco Foodex ouvre un showroom à Paris pour promouvoir les saveurs du Maroc
Suivez-nous sur Facebook
Brexit: Boris Johnson veut mettre le turbo
Le Premier ministre britannique Boris Johnson veut interdire légalement toute extension au delà de 2020 de la période de transition suivant la sortie du Royaume-Uni de l’Union européenne le 31 janvier, a indiqué mardi une source gouvernementale.
“La semaine dernière, le public a voté pour un gouvernement qui réaliserait le Brexit et permettrait à ce pays d’aller de l’avant. Et c’est exactement ce que nous avons l’intention de faire dès cette semaine”, a indiqué une source au 10, Downing Street.
“Notre programme indiquait clairement que nous n’étendrions pas la période de transition et la nouvelle loi d’application de l’accord de retrait interdira légalement au gouvernement d’accepter toute extension” au delà de 2020, a-t-elle ajouté.
Elu à une large majorité, le dirigeant conservateur présentera vendredi à la Chambre des communes la loi d’application de l’accord négocié avec Bruxelles encadrant la sortie du Royaume-Uni de l’UE le 31 janvier.
Ce compromis de divorce prévoit une période de transition jusqu’à fin 2020, prolongeable jusqu’à deux ans, afin d’éviter une rupture brutale, chaotique pour l’économie, si les deux parties n’arrivent pas à conclure, dans ce laps de temps, un accord sur leur future relation commerciale.
Pour que cette période de transition, pendant laquelle les Britanniques continueront d’appliquer les règles européennes, soit étendue, Londres doit en faire la demande avant le 1er juillet 2020.
L’accord de retrait sera le premier texte examiné par le Parlement dans sa nouvelle composition, après le serment d’allégeance à la Couronne des 650 députés nouvellement élus.
Son adoption devrait s’achever après les fêtes, permettant au Parlement européen de ratifier le texte et levant les derniers obstacles au divorce, après 47 ans de mariage difficile et plus de trois ans de psychodrame ayant suivi le référendum de 2016.
Sur la forme que prendront les futures relations entre Bruxelles et Londres, Boris Johnson souhaite un accord de libre-échange inspiré de celui conclu entre l’UE et le Canada, selon son porte-parole.
Source : MAP
Commentaires (0)