-
13:03
-
12:44
-
12:30
-
12:20
-
12:02
-
11:45
-
11:30
-
11:11
-
10:44
-
10:30
-
10:00
-
09:44
-
09:34
-
09:30
-
09:04
-
08:44
-
08:20
-
08:11
-
08:03
-
07:52
-
07:30
-
07:00
-
23:55
-
23:50
-
23:46
-
23:30
-
23:00
-
22:45
-
22:30
-
22:02
-
21:44
-
21:31
-
21:00
-
20:55
-
20:44
-
20:31
-
20:00
-
19:44
-
19:30
-
19:15
-
19:00
-
18:44
-
18:30
-
18:08
-
17:45
-
17:33
-
17:17
-
17:00
-
16:47
-
16:30
-
16:27
-
16:15
-
16:06
-
16:06
-
16:02
-
15:44
-
15:30
-
15:05
-
15:00
-
14:44
-
14:30
-
14:06
-
14:04
-
13:40
-
13:25
Guerre en Ukraine : sanctions "sans précédent" de l'UE contre la Russie
L’Union européenne a adopté ce vendredi 18 juillet un 18e train de sanctions contre la Russie, marqué par un abaissement du prix plafond du pétrole brut russe autorisé à l’exportation. Désormais fixé à un peu plus de 45 dollars le baril, soit 15 % de moins que la moyenne du marché, ce nouveau seuil vise à limiter les revenus pétroliers de Moscou.
La France a salué une décision « sans précédent ». Le ministre des Affaires étrangères, Jean-Noël Barrot, a affirmé que cette initiative européenne, à laquelle Paris a contribué activement, vise à contraindre la Russie à un cessez-le-feu.
La Slovaquie, qui bloquait jusqu’à présent l’adoption de ce paquet, a levé son veto après avoir obtenu des garanties sur son approvisionnement en gaz, alors que l’UE cherche à se défaire totalement du gaz russe d’ici 2027.
Ce nouveau mécanisme de plafonnement sera ajustable : il maintiendra un écart de 15 % avec les prix du marché, rendant le dispositif plus souple. Selon la cheffe de la diplomatie européenne Kaja Kallas, les précédentes mesures ont déjà réduit de 30 % les revenus pétroliers de la Russie. L’objectif reste inchangé : « maintenir la pression jusqu’à ce que la Russie arrête sa guerre » assure la cheffe de la diplomatie européenne Kaja Kallas.
Aya El Kerf
