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L’Afrique du Sud en récession technique
Le produit intérieur brut (PIB) de l’Afrique du Sud s’est contracté de 1,4% au quatrième trimestre 2019, plongeant le pays dans sa troisième récession technique depuis 1994, selon le département sud-africain de la statistique (Stats SA/gouvernemental).
“L’économie sud-africaine se porte extrêmement mal, et avec trois des quatre trimestres de l’année dernière ayant enregistré une croissance négative, il est clair que les Sud-Africains deviennent de plus en plus pauvres à un rythme accéléré”, a indiqué l’économiste-en-chef au sein du cabinet Econometrix, Azar Jammine.
Il s’agit de la deuxième contraction consécutive après celle enregistrée durant le troisième trimestre 2019, ce qui signifie une récession technique. Une récession complète fait référence à deux trimestres de récession, combinés à une baisse du PIB en glissement annuel.
Stats SA fait savoir que l’agriculture, l’exploitation forestière et la pêche étaient les principaux contributeurs à la baisse du PIB avec -7,6%. Les secteurs de la construction et du commerce ont également été affectés avec -5,9% et -3,8% respectivement.
En revanche, note le département, la finance, l’immobilier et les services aux entreprises ont augmenté de 2,7%. Quant au secteur des mines et de l’exploitation des carrières, il a également enregistré une hausse de 1,8%.
L’Afrique du Sud se bat depuis des années dans une crise multidimensionnelle avec une croissance en berne, une détérioration des finances publiques et un chômage en hausse (environ 30% de la population active).
Depuis la crise financière inteLe produit intérieur brut (PIB) de l’Afrique du Sud s’est contracté de 1,4% au quatrième trimestre 2019, plongeant le pays dans sa troisième récession technique depuis 1994, selon le département sud-africain de la statistique (Stats SA/gouvernemental).
“L’économie sud-africaine se porte extrêmement mal, et avec trois des quatre trimestres de l’année dernière ayant enregistré une croissance négative, il est clair que les Sud-Africains deviennent de plus en plus pauvres à un rythme accéléré”, a indiqué l’économiste-en-chef au sein du cabinet Econometrix, Azar Jammine.
Il s’agit de la deuxième contraction consécutive après celle enregistrée durant le troisième trimestre 2019, ce qui signifie une récession technique. Une récession complète fait référence à deux trimestres de récession, combinés à une baisse du PIB en glissement annuel.
Stats SA fait savoir que l’agriculture, l’exploitation forestière et la pêche étaient les principaux contributeurs à la baisse du PIB avec -7,6%. Les secteurs de la construction et du commerce ont également été affectés avec -5,9% et -3,8% respectivement.
En revanche, note le département, la finance, l’immobilier et les services aux entreprises ont augmenté de 2,7%. Quant au secteur des mines et de l’exploitation des carrières, il a également enregistré une hausse de 1,8%.
L’Afrique du Sud se bat depuis des années dans une crise multidimensionnelle avec une croissance en berne, une détérioration des finances publiques et un chômage en hausse (environ 30% de la population active).
Depuis la crise financière internationale de 2008-09, l’économie n’a pas pu se libérer de sa léthargie. En 2019, elle n’a pas pu faire mieux que 0,5% de croissance.
Pour 2020, les institutions de Bretton Woods, Banque mondiale et Fonds monétaire international, prévoient une croissance tout aussi faible de 0,8% ou, au mieux, de 1%.rnationale de 2008-09, l’économie n’a pas pu se libérer de sa léthargie. En 2019, elle n’a pas pu faire mieux que 0,5% de croissance.
Pour 2020, les institutions de Bretton Woods, Banque mondiale et Fonds monétaire international, prévoient une croissance tout aussi faible de 0,8% ou, au mieux, de 1%.
Source : MAP
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