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Les conflits successoraux et familiaux sont au premier plan du drame du Ramadan marocain
Les caractéristiques de la nouvelle saison des productions télévisuelles marocaines commencent à se préciser, avec le début des tournages de certains projets et la fin des autres, en vue de préparer la compétition pour attirer le plus grand nombre de téléspectateurs, car ces productions s'appuient fortement sur le social. des sujets proches de la réalité marocaine, notamment ceux qui tournent autour des conflits familiaux, de l'héritage et de la délinquance.
Il semble que le prochain mois de Ramadan verra un certain nombre de ces œuvres être diffusées sur les chaînes un et deux, en plus de MBC 5. L’une des productions les plus marquantes est la série « Blood Mashrouk », qui se concentre sur le conflit d’héritage entre trois sœurs, unies par un lien fraternel, mais l’une d’elles appartient à un père différent. Ils se retrouvent confrontés à une vive confrontation au sujet de la gestion d'une entreprise dont ils ont hérité de leur mère décédée.
La série a un caractère social et dramatique et se compose de trente épisodes destinés à être diffusés sur Channel 2 pendant le mois de Ramadan. Un groupe d'acteurs marocains d'élite participe au film, dont Dounia Boutazot, Mohamed El-Khayari, Meriem El-Zaimi, Abdallah Dedan, Sandia Taj El-Din, Ayoub Kreita, Saad Moufak et Ayoub Abu El-Nasr.
Dans le même contexte, le téléfilm « Le Cousin », produit pour la Deuxième chaîne, aborde la question de la lutte pour l'héritage sous un autre angle. Ses événements tournent autour d'une jeune fille qui mène une vie luxueuse, mais la mort de ses parents bouleverse sa vie et elle se retrouve au milieu des ambitions des membres de sa famille, menés par son cousin, qui cherche à acquérir sa propriété.
Les événements s'intensifient lorsque la jeune fille est exposée à des conspirations successives qui menacent sa vie, la forçant à échapper à cette réalité pleine d'envie et d'avidité. Elle est obligée de se cacher et de travailler comme femme de ménage dans la maison d'une famille riche, essayant de s'adapter à une nouvelle vie loin du luxe qu'elle vivait.
La jeune fille trouvera la paix et la stabilité psychologique auprès de la famille qui lui assurait la sécurité, préférant une vie simple de servante plutôt que de continuer dans un environnement rempli de haine et d'envie, malgré l'extrême richesse dont elle jouissait.
Dans un autre contexte, le thème de la criminalité sera fortement présent dans la nouvelle saison télévisée, à travers des œuvres telles que la série « Bag » (abréviation de La Brigade Anti Gang), qui met en lumière les détails du travail de la brigade anti-criminalité et traquer les gangs, sous la direction d'Idris Al-Roukh.
Quant à la série « In Heedless », réalisée par Hisham Al-Jabbari, elle mêle crime et crises familiales, alors que les événements se compliquent à la suite d'un meurtre qui affecte la vie d'une famille et contraint sa fille à revenir d'Europe.
D'autre part, les événements de la série « Shakun Kan Sayul » tournent autour d'un meurtre qui crée des conflits complexes et des relations entrelacées entre des personnages issus de différents milieux sociaux, ce qui augmente la tension et le mystère.
En plus du crime, la série « Yom Malakak », qui sera diffusée sur MBC 5, se concentre sur une jeune fille qui fait face à des défis sociaux après sa migration du désert vers la ville pour réaliser des rêves simples, dans un cadre social dramatique.
Quant à l'amour, il aura une place de choix dans la nouvelle programmation, à travers la série « Le mariage de Laila en un an », qui raconte l'histoire de deux jeunes (Laila et Qais) qui décident de se fiancer à condition que le mariage être reporté d'un an, afin que Laila puisse mieux connaître Qais. Tout au long de cette période, le duo est exposé de manière comique à une série de situations et de problèmes.
Le téléfilm « Entre toi et moi » présente une histoire d'amour dramatique et romantique qui rassemble deux jeunes hommes qui tentent de surmonter de nombreux obstacles, notamment les fardeaux du passé qui menacent leur avenir commun.
Le caftan marocain revient également en force dans deux nouvelles œuvres : la série « Khadija's Caftan » du réalisateur Lamis Khairat et la série « Eye of the Needle » du réalisateur Ayoub Al Hindi, où l'industrie du caftan est mise en avant comme une partie authentique de Patrimoine marocain.
Avec cette diversité de sujets et d'événements, il semble que la nouvelle saison apporte aux téléspectateurs des histoires intéressantes pleines de suspense et de conflits humains.
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