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Washington accueille avec prudence la formation du nouveau gouvernement syrien
Les États-Unis ont qualifié lundi la formation d’un nouveau gouvernement syrien d’« étape positive », tout en maintenant leurs sanctions contre le pays. Washington conditionne tout assouplissement de ces mesures à des progrès concrets sur plusieurs dossiers, notamment la lutte contre le terrorisme et la sécurité des minorités.
La porte-parole du département d’État, Tammy Bruce, a déclaré que les États-Unis reconnaissaient « les luttes du peuple syrien qui a souffert pendant des décennies sous le pouvoir despotique et l’oppression du régime Assad ». Elle a toutefois insisté sur le fait que les nouvelles autorités devaient prouver leur engagement à éradiquer le terrorisme, exclure les combattants étrangers de toute fonction officielle et empêcher l’Iran et ses alliés d’exploiter le territoire syrien.
Le président par intérim, Ahmad Al-Chareh, dont la coalition islamiste a pris le pouvoir à Damas en décembre après quatorze ans de guerre civile et la chute de Bachar Al-Assad, a annoncé samedi la composition de son gouvernement, largement dominé par ses partisans.
Washington exige également des mesures concrètes, notamment la destruction des armes chimiques du régime Assad, la recherche des citoyens américains disparus en Syrie et la protection des minorités religieuses et ethniques. La porte-parole a précisé que la politique américaine à l’égard des nouvelles autorités syriennes dépendra de la mise en œuvre effective de ces engagements.
De son côté, l’Union européenne s’est dite prête à « coopérer » avec le nouveau gouvernement syrien, sans pour autant détailler les conditions d’un éventuel rapprochement diplomatique.
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