- 16:45Commande publique : l’inspection des finances met à nu les défaillances administratives
- 16:16Coupe du Trône 2024 : Berkane vise le triplé, Safi rêve d’un premier sacre
- 15:30Fruits et légumes : les produits marocains gagnent du terrain en Espagne
- 14:30Mawazine 2025 : Gülay Hacer Toruk envoûte Chellah avec l’âme de l’Anatolie
- 14:00Altkin passe au solaire : le site marocain amorce sa transition énergétique
- 13:30Agadir : arrestation de deux Britanniques recherchés à l'international
- 12:41Canicule au Maroc : Ben Guerir, Kénitra et Taroudant parmi les villes les plus chaudes du monde
- 12:30Le Maroc mise sur la connectivité africaine
- 12:01Rabat accueille une mission saoudienne pour renforcer ses liens économiques avec l’Afrique
Suivez-nous sur Facebook
Justice et polémique autour du streamer Ilyas El Maliki
Ilyas El Maliki, l’un des streamers les plus suivis au Maroc, se retrouve de nouveau dans le viseur de la justice. Bien que les plaintes pour « propagation de la haine raciale » déposées par des personnalités amazighs aient été retirées, le créateur de contenu fait face à deux nouvelles accusations. Cette série de complications judiciaires met en lumière les défis et les tensions autour de l’influence croissante des personnalités en ligne au Maroc.
Hier, les avocats des plaignants et ceux d’El Maliki se sont réunis pour une réconciliation, aboutissant au retrait des accusations liées aux propos envers la communauté amazighe. Cependant, ce mardi, le streamer s’est retrouvé devant le parquet d’El Jadida pour répondre à deux autres plaintes, notamment celle de Hamza Abourazzouk, ancien joueur de football professionnel et de Simo Bourkadi, youtubeur connu. Abourazzouk n’a pas accepté de retirer sa plainte, malgré les tentatives de conciliation entreprises.
Bourkadi, de son côté, accuse El Maliki de diffamation. Les tensions entre les deux influenceurs avaient éclaté sur la corniche d’El Jadida lors d’une altercation filmée et largement partagée sur les réseaux sociaux. La scène a alimenté les débats sur la responsabilité des influenceurs en matière de contenu et de comportement public. Bourkadi affirme que cette rencontre a eu des répercussions néfastes sur sa réputation.
El Maliki, qui a été arrêté après plusieurs plaintes et un mandat d’arrêt national émis en mai dernier, est libéré sous conditions. Sa garde à vue a néanmoins été prolongée afin d’approfondir l’enquête. Cette situation relance le débat autour des responsabilités et des dérives potentielles de la célébrité digitale au Maroc.
Commentaires (0)