- 19:00Deux banques marocaines dans le prestigieux classement Forbes Global 2000
- 18:33Reconstitution du cheptel : l’État passe à l’action
- 18:00NAVER et Nvidia lancent un data center IA au Maroc
- 17:00RAM prépare une commande géante de 188 avions
- 15:41Cap sur l’Est : Comment le Maroc peut séduire le tourisme chinois de demain ?
- 15:30Abderrahim Dbich met fin à son mandat à la tête d’Allianz Maroc
- 15:00Wafa Assurance accélère son expansion en Afrique avec une OPA stratégique en Égypte
- 14:30Médecine dentaire illégale au Maroc : un danger silencieux pour la santé publique
- 13:30Travail et intelligence artificielle : vers une redéfinition profonde des modèles professionnels
Suivez-nous sur Facebook
Harvard : un camouflet retentissant pour les partisans du polisario
Lors d'une conférence à la Harvard Law School sur le Sahara marocain, Mouloud Said, représentant du Polisario à Washington, a vécu un moment difficile. Pensant disposer d’une tribune idéale pour défendre ses positions, il a été confronté à des étudiants marocains déterminés et bien préparés, qui ont méthodiquement démonté ses arguments.
Dès les premières interventions, le ton est donné. Un étudiant marocain questionne : "Pouvez-vous citer une seule résolution du Conseil de sécurité de l'ONU qui préconise l’indépendance comme solution ?" Un silence embarrassé s’installe, illustrant l’absence de fondements solides à la thèse séparatiste.
Les étudiants marocains rappellent alors la proposition marocaine d’autonomie, largement reconnue comme une solution crédible par la communauté internationale, ainsi que les revers diplomatiques successifs du Polisario. Ils dénoncent aussi la situation préoccupante dans les camps de Tindouf, où les droits humains sont gravement bafoués.
Face à cette avalanche d’arguments, les intervenants du Polisario peinent à répondre et tentent de recentrer le débat sur d'autres sujets. Mais le mal est fait : leur crédibilité en sort fortement affaiblie.
Cet épisode à Harvard illustre une tendance de fond : le discours du Polisario ne résiste plus à une confrontation avec les faits historiques et le droit international. La question du Sahara marocain continue ainsi de s’imposer sur la scène diplomatique avec clarté et fermeté.
Commentaires (0)