- 08:00TGCC ouvre son capital au public pour financer son expansion stratégique
- 07:12Renault Maroc signe un premier semestre 2025 record et confirme son leadership national
- 07:10Maroc-Allemagne : Wadephul et Bourita renforcent le dialogue stratégique
- 07:00Casablanca-Settat engage plus de 16 milliards de dirhams pour la LGV
- 20:30Sound Energy investit 250 millions de dollars dans le solaire au Maroc
- 20:00LafargeHolcim Maroc : le pari d’une industrie cimentière plus verte
- 19:00Le NOTIL lance son premier Design Day pour structurer l’avenir de l’écoconstruction au Maroc
- 17:30Zeus Resources s’implante au Maroc : acquisition stratégique du projet antimonifère de Casablanca
- 16:30Mohammedia renforce sa résilience face aux inondations : un projet structurant pour l’assainissement des eaux pluviales
Suivez-nous sur Facebook
Assilah : une affaire foncière aux répercussions explosives
Le procès en appel de l’affaire d’appropriation illégale d’un bien immobilier à Assilah se poursuit devant la chambre criminelle de la Cour d’appel de Tanger. Prévu pour le jeudi 13 février 2025, il fait suite à l’appel du procureur général contre l’acquittement de plusieurs prévenus, dont des conservateurs fonciers, des promoteurs immobiliers et le fils d’un avocat influent de Casablanca.
Les accusés étaient poursuivis pour constitution d’une organisation criminelle, falsification de documents officiels et détournement de fonds publics. L’affaire repose sur la création contestée d’un titre foncier couvrant des terrains occupés par des institutions publiques, malgré l’existence d’oppositions légales. La plaignante affirme que ces manipulations ont permis aux prévenus d’encaisser près de 14 millions de dirhams issus des caisses de l’État.
Plus largement, cette affaire met en lumière un système complexe de falsification foncière, où des terrains publics ont été enregistrés au nom de particuliers, entraînant des indemnisations massives et controversées. L’enquête et le procès en cours sont suivis de près, tant par les autorités que par l’opinion publique, face à ce qui pourrait devenir l’un des plus grands scandales fonciers du pays.
Commentaires (0)