- 10:27CPS de l'UA : Le Maroc condamne fermement tout soutien aux mouvements séparatistes et terroristes
- 10:03Bah Oury salue les progrès du Maroc et l’impulsion du Roi Mohammed VI pour l’Afrique
- 09:27Automobile : le Maroc renforce sa compétitivité et bouscule l’Espagne
- 09:25Raja-AS FAR : Adam Ennafati en larmes après la défaite
- 09:24Le réseau ferré Marocain, un catalyseur pour le développement de l’infrastructure nationale et Africaine
- 09:10JO de Paris 2024 : Coca-Cola accusé de greenwashing par une ONG environnementale
- 09:09 La chambre des conseillers approuve le projet de loi pour la réorganisation du secteur cinématographique Marocain
- 08:51L'Aéroport Essaouira-Mogador enregistre une hausse significative du trafic passagers
- 08:45Le Maroc, modèle de dialogue et de paix pour l'Alliance des Civilisations
Suivez-nous sur Facebook
Bouteflika parti, les Algériens attendent plus
Célébrations dans les rues d'Alger... Drapeaux, musique, feux d'artifices, cette fois-ci, les Algériens y croient.
A Alger, un millier d'entre eux ont accueilli la nouvelle de la démission du président algérien Abdelaziz Bouteflika avec joie et soulagement après six semaines de contestations pacifiques et les pressions exercées par l'armée.
"Si on doit se contenter de la chute d'un individu, on n'ira pas très loin, notre combat réel, c'est d'avoir un état de droit, un état d'institution, un état réellement démocratique, une nouvelle ère, une deuxième république avec une souveraineté populaire réelle."
"Ce que nous attentons, c'est le jour où Monsieur Bouteflika et toute sa famille et ses amis seront arrêtés."
Bouteflika, qui en février entendait encore briguer un cinquième mandat, "a donc avisé officiellement mardi soir le Conseil constitutionnel de la fin de son mandat de président de la République". Quelques heures avant, le chef d'Etat major, Ahmed Gaïd Salah, qui avait déjà demandé cette démission, avait réuni tous les plus hauts gradés de l'armée.
Des images de Bouteflika, vêtu d'une gandoura beige, affaibli, en fauteuil roulant, remettant sa lettre de démission au président du conseil constitutionnel, ont été diffusées à la télévision nationale.
C'est désormais Abdelkader Bensalah, 77 ans, président du conseil de la nation, chambre haute du parlement, qui assure l'intérim. Il est chargé d'organiser une élection présidentielle dans un délai maximum de 90 jours.
Source : Euronews