- 20:28Les Lionceaux de l’Atlas entament la CAN U17 en force face à l’Ouganda
- 20:08La région MENA investira 12 milliards de dollars dans les centres de données d’ici 2027
- 19:32 La Chine plaide pour le désarmement nucléaire et la paix en Ukraine
- 18:31Le marché du charbon en mutation : recul global, mais essor marocain
- 18:05Paris et Alger : une relation sous tension, entre fermeté et dialogue
- 17:40Grèce : Mykonos et Paros submergées par des inondations dévastatrices
- 17:24Maladies fongiques : l’OMS appelle à l'innovation urgente
- 17:05Israël en Cisjordanie : une occupation renforcée malgré le droit international
- 16:41Flambée des prix du poisson à Fès : les consommateurs en difficulté
Suivez-nous sur Facebook
Bouteflika parti, les Algériens attendent plus
Célébrations dans les rues d'Alger... Drapeaux, musique, feux d'artifices, cette fois-ci, les Algériens y croient.
A Alger, un millier d'entre eux ont accueilli la nouvelle de la démission du président algérien Abdelaziz Bouteflika avec joie et soulagement après six semaines de contestations pacifiques et les pressions exercées par l'armée.
"Si on doit se contenter de la chute d'un individu, on n'ira pas très loin, notre combat réel, c'est d'avoir un état de droit, un état d'institution, un état réellement démocratique, une nouvelle ère, une deuxième république avec une souveraineté populaire réelle."
"Ce que nous attentons, c'est le jour où Monsieur Bouteflika et toute sa famille et ses amis seront arrêtés."
Bouteflika, qui en février entendait encore briguer un cinquième mandat, "a donc avisé officiellement mardi soir le Conseil constitutionnel de la fin de son mandat de président de la République". Quelques heures avant, le chef d'Etat major, Ahmed Gaïd Salah, qui avait déjà demandé cette démission, avait réuni tous les plus hauts gradés de l'armée.
Des images de Bouteflika, vêtu d'une gandoura beige, affaibli, en fauteuil roulant, remettant sa lettre de démission au président du conseil constitutionnel, ont été diffusées à la télévision nationale.
C'est désormais Abdelkader Bensalah, 77 ans, président du conseil de la nation, chambre haute du parlement, qui assure l'intérim. Il est chargé d'organiser une élection présidentielle dans un délai maximum de 90 jours.
Source : Euronews
Commentaires (0)