- 18:04Exportations chinoises en chute libre
- 17:26Commerce Mondial : Les États-Unis et la Chine à Londres pour résoudre la crise des tarifs douaniers
- 12:26Polo : L’équipe marocaine domine les États-Unis à Newport
- 09:04Nucléaire iranien : tensions renouvelées autour de la proposition américaine
- 07:29Immigration : Los Angeles sous haute tension après le déploiement fédéral
- 13:03Trump déploie la Garde nationale en Californie
- 11:33Khaby Lame expulsé des États-Unis : l'influenceur TikTok rattrapé par les lois sur l'immigration
- 10:00Sabalenka : « La pire finale » à Roland-Garros
- 15:30Face aux quotas européens, l’Ukraine redessine sa carte des exportations céréalières
Suivez-nous sur Facebook
Donald Trump affirme la fuite de Bachar Al-Assad
Sur sa plateforme Truth Social, l’ancien président américain Donald Trump a créé la surprise en affirmant que Bachar al-Assad, président syrien controversé, aurait quitté la Syrie. Selon ses déclarations, Assad aurait fui son pays après avoir perdu le soutien de son allié majeur, la Russie.
« Assad n’est plus là. Il a fui son pays. Son protecteur, la Russie, dirigée par Vladimir Poutine, ne souhaitait plus le protéger », a écrit M. Trump. Une annonce qui, bien qu’elle n’ait pas été confirmée par des sources officielles, suscite de nombreuses interrogations sur la situation actuelle en Syrie et sur l’état des alliances géopolitiques dans la région.
Trump relie cette prétendue fuite au contexte complexe de la guerre en Ukraine. Selon lui, la Russie aurait « perdu tout intérêt pour la Syrie » en raison des lourdes pertes subies dans ce conflit. Il affirme que près de 600 000 soldats russes seraient blessés ou morts, une statistique alarmante qu’il utilise pour critiquer la gestion de la guerre par le Kremlin.
Ces déclarations surviennent dans un contexte où la Syrie reste un point névralgique des tensions internationales. Depuis des années, la Russie joue un rôle clé dans le maintien au pouvoir de Bachar al-Assad, en lui fournissant un soutien militaire crucial pour contrer les rébellions internes et les groupes armés dans le pays.
Commentaires (0)