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La Revue de Presse du Jeudi 25 Avril 2024
Le Maroc, sous le leadership de SM le Roi, est le pays arabo-islamique qui accorde le plus grand intérêt à Al-Qods Acharif
(AL Bayane)
Le Royaume du Maroc, sous le leadership de SM le Roi Mohammed VI, est le pays arabo-islamique qui accorde le plus grand intérêt à la Ville Sainte, a affirmé le ministre palestinien chargé des affaires d’Al-Qods, Ashraf Al-Aawar.
Lors d’une réunion lundi avec l’ambassadeur du Maroc à Ramallah, Abderrahim Mouziane, le ministre palestinien s’est félicité du soutien constant du Maroc aux Palestiniens et des efforts du Royaume pour la préservation d’Al-Qods Acharif contre la judaïsation et la défense de ses monuments arabo-islamiques.
Il a également loué les actions menées par le Comité Al-Qods, sous la présidence de SM le Roi Mohammed VI, en faveur de la sauvegarde de l’identité arabo-islamique de la Ville Sainte, indique un communiqué de l’ambassade du Maroc à Ramallah.
M. Al-Aawar a dit, à cet égard, apprécier hautement les actions louables de l’Agence Bayt Mal Al-Qods au profit des populations maqdessies, soulignant la fierté et la satisfaction de l’ensemble des habitants d’Al-Qods quant à la qualité des services qui leur sont fournis par l’Agence.
Par ailleurs, le ministre palestinien a exprimé la volonté de son département de nouer des accords de partenariat et de jumelage avec des villes marocaines, dans l’objectif de tirer profit de l’expérience du Royaume dans le domaine de la préservation du patrimoine et d’élaborer des programmes communs pour soutenir les familles maqdessies dans leur résistance face aux visées de judaïsation.
Il a également mis l’accent sur l’importance de poursuivre les consultations pour la mise en place de projets de coopération bilatérale entre le Royaume du Maroc et l’État de Palestine, relatifs notamment à l’appui au développement dans la Ville Sainte.
SIAM 2024 : Ouverture du marché de l’Union européenne aux importations du miel marocain
(Al Bayane)
A l’occasion de la 16ème édition du Salon International de l’Agriculture au Maroc (SIAM), qui se déroule à Meknès, la Délégation de l’Union européenne au Maroc et le Ministère de l'Agriculture, de la Pêche Maritime, du Développement Rural et des Eaux et Forêts ont célébré, ce mardi 23 avril 2024 à Meknès, sous la présidence du Ministre de l’agriculture, de la pêche maritime, du développement rural et des eaux et forêts, M. Mohammed Sadiki, et l’Ambassadrice de l’Union Européenne au Maroc, Mme Patricia Llombart Cussac, l’ouverture du marché de l’Union européenne aux importations du miel marocain.
Cette célébration fait suite à la récente inscription du Maroc, en février 2024, sur la liste des pays depuis lesquels le miel peut être importé dans l’Union européenne. Grâce à cette nouvelle opportunité, les producteurs du secteur apicole pourront désormais accéder au plus important marché mondial du miel. L’Union européenne – tout en étant un des plus gros producteurs mondiaux de miel - doit importer jusqu’à 40% de sa consommation, qui au total dépasse le milliard d’euros en valeur (plus de 10 milliards de dirhams).
« Le partenariat entre l’Union européenne et le Maroc est un partenariat gagnant – gagnant et l’ouverture du marché du miel aux producteurs marocains le symbolise bien: les apiculteurs marocains vont pouvoir bénéficier d’opportunités économiques considérables et les consommateurs européens vont pouvoir découvrir des miels aux nouvelles saveurs grâce au savoir-faire et à la richesse naturelle du Maroc» a déclaré Patricia Llombart Cussac, Ambassadrice de l’Union Européenne au Maroc. « Le travail des apiculteurs est essentiel, tant pour notre plaisir gustatif que pour l’ensemble de l’agriculture et la biodiversité du Maroc », a-t-elle ajouté tenant à « féliciter le Ministère de l'Agriculture, de la Pêche Maritime, du Développement Rural et des Eaux et Forêts, ainsi que l’Office National de Sécurité Sanitaire des Produits Alimentaires, qui ont réussi à fournir les garanties nécessaires à l’UE pour permettre l’ouverture du marché européen au miel marocain».
Décarbonation du secteur des transports : Le Maroc réitère ses engagements pour une mobilité propre
(Aujourd'hui le Maroc)
Les efforts du Maroc en matière de décarbonation du secteur des transports ont été mis en exergue mercredi à Rabat et ce lors d’une rencontre organisée dans le cadre d’une coopération avec le Forum international des transports (ITF). Intervenant à cet égard, Mohammed Abdeljalil, ministre du transport et de la logistique, a souligné l’engagement du Royaume dans ce sens. «Les ambitions du Maroc en matière de développement durable sont très élevées», indique le ministre. Et de souligner que «la performance de l’économie nationale, la qualité de vie des citoyens, l’inclusion sociale et l’attractivité touristique dépendent fortement d’une mobilité performante et propre».
M. Abdeljalil a également mis l’accent sur la nécessité d’adapter les infrastructures et les systèmes de mobilité aux nouvelles conditions climatiques pour assurer le fonctionnement du transport et prévenir des pertes économiques, voire des catastrophes humanitaires. Selon le ministre, cette rencontre se veut une plateforme d’échange entre les participants autour des scénarios envisageables pour la décarbonation des transports, surtout dans le contexte actuel marqué par les effets ressentis du changement climatique sur le globe et les circonstances économiques compliquées suite aux crises successives que connaît le monde d’une manière générale. De son côté, Young Tae Kim, secrétaire général de l’ITF, a relevé que «le Maroc, en tant que carrefour stratégique en matière de commerce et de transport international, constitue un acteur clé dans les contextes régional et mondial».
Trafic aérien au Maroc : Une envolée de 14% au T1 2024
(Aujourd'hui le Maroc)
Les aéroports marocains ont connu un début d'année 2024 florissant avec un trafic aérien en hausse de 14% au premier trimestre, comparé à la même période en 2023. Ce sont 6,87 millions de passagers qui ont transité par les différentes plateformes aéroportuaires du Royaume, une performance remarquable portée par la forte dynamique du trafic international.
Cette croissance s'explique par plusieurs facteurs, notamment la création de nouvelles routes aériennes, l'augmentation des fréquences hebdomadaires et un taux de remplissage des avions avoisinant les 90%, voire 100% pour certaines destinations. Le nombre de vols a également bondi de 11%, atteignant 51.282 mouvements sur les trois premiers mois de l'année.
Fort de ces résultats encourageants, l'Office National des Aéroports (ONDA) prévoit un trafic global dépassant les 30 millions de passagers pour l'année 2024. Les aéroports de Marrakech, Agadir et Tanger devraient particulièrement se distinguer avec des croissances respectives de 23%, 22% et 13%.
Pour répondre à cette demande croissante et accompagner les ambitions du Maroc, l'ONDA poursuit son ambitieux programme d'investissement. Plusieurs chantiers sont en cours ou en préparation, comme le développement de l'aéroport Rabat-Salé, l'extension de l'aéroport de Tétouan, la construction d'un nouveau terminal à Tanger et la rénovation des aéroports d'Agadir et de Marrakech.
Akhannouch présente le bilan de mi-mandat de son gouvernement
(Le Matin du Sahara)
Présentant le bilan d’étape de l’action gouvernementale devant les deux Chambres du Parlement, Akhannouch a relevé que les réalisations accomplies reflétaient la ferme détermination de l’Exécutif à honorer ses engagements plutôt que de chercher des prétextes dans la succession des crises complexes qu’a connues le pays.
Il a mis en évidence les avancées de la mise en œuvre du projet royal stratégique pour l’État social, notamment dans les domaines du soutien direct aux citoyens et de l’aide au logement, ainsi que l’extension de la couverture santé obligatoire à plus de dix millions de citoyens, précédemment couverts par le système RAMED, pour un budget annuel de 9,5 milliards de dirhams.
Akhannouch a également souligné la progression du Maroc dans les domaines constitutionnel, démocratique, de développement, diplomatique et sportif, qu’il attribue à la clairvoyance de la vision royale. Cette période a également été marquée par des avancées dans la gestion de la crise sanitaire mondiale et la reconnaissance internationale de la diplomatie marocaine, en particulier concernant la question du Sahara.
Malgré les critiques de l’opposition, qui accuse le gouvernement de ne pas répondre efficacement aux enjeux économiques et sociaux, et de négliger les problèmes des zones rurales exacerbés par des années de sécheresse, Akhannouch a défendu l’efficacité et la cohésion de son cabinet.
Propriété intellectuelle : L’OMPI appuie le Maroc
(Le Matin du Sahara)
Le ministre de la jeunesse, de la culture et de la communication, Mohamed Mehdi Bensaid, a tenu à Genève une séance de travail avec le directeur général de l’Organisation mondiale pour la propriété intellectuelle (OMPI), axée sur la protection du patrimoine culturel et de l’art de vivre marocain.
«L’OMPI soutient le Maroc dans ses efforts de sauvegarde de son art de vivre et de son patrimoine culturel immatériel». C’est ce qu’a indiqué Daren Tang, directeur général de l’Organisation mondiale de la propriété intellectuelle (OMPI), lors d’une séance de travail tenue avec Mehdi Bensaid, ministre de la jeunesse, de la culture et de la communication, à Genève. Lors de cette rencontre, M. Tang a souligné que «la propriété intellectuelle soutient tous les aspects de la vie au Maroc dont le zellige, aussi bien dans les villes que dans les zones rurales». Et de rappeler que «l’inscription du zellige par le Maroc auprès de l’OMPI en 2016 est considérée comme une reconnaissance internationale du zellige marocain par cette organisation internationale». Le directeur général de l’OMPI a noté en effet que la coopération entre l’Organisation et le Maroc est très développée. Il s’est félicité des résultats de sa dernière visite dans le Royaume et a fait part de sa volonté de développer davantage ces relations de coopération.
Lors de cette réunion, les discussions ont porté par ailleurs sur le patrimoine du Maroc et la création du nouveau Label Maroc. «Nous avons discuté de la manière dont nous pouvons le soutenir grâce à notre expertise en matière de soutien au patrimoine des pays et à leurs héritages, et en le combinant avec la stratégie de marque (branding), le marketing et l’emballage», relève-t-il.
Il a annoncé que «le Maroc et l’OMPI travaillent également sur un projet avec la ville d’Essaouira sur les moyens de faire connaître ses produits traditionnels au monde entier». Et d’ajouter : «J’ai donc eu le plaisir de m’entretenir avec le ministre de l’ordre du jour futur entre l’OMPI et le Maroc, et notamment de la possibilité de soutenir de nouvelles législations avec le Maroc qui repousse les limites en matière de droits d’auteur et de droits voisins». Parmi les sujets évoqués, figurent notamment l’intelligence artificielle et la façon avec laquelle elle peut être un catalyseur pour soutenir l’industrie marocaine et les start-up marocaines.
Sahara marocain : la première vice-présidente de la Chambre des députés tchèque réaffirme la position de son pays en faveur du plan d'autonomie
(LIberation)
La première vice-présidente de la Chambre des députés (Chambre basse du parlement) de la République tchèque, Vera Kovarova, a réaffirmé, mardi à Rabat, la position de son pays en faveur du plan marocain d'autonomie en tant que solution au différend artificiel autour du Sahara marocain.
Cette réaffirmation est intervenue lors des entretiens qu'elle a eue avec le président de la Chambre des représentants, Rachid Talbi Alami, indique la première Chambre dans un communiqué.
Mme Kovarova, qui effectue une visite au Royaume à la tête d'une importante délégation parlementaire, a salué à cette occasion les réformes entreprises par le Royaume sous le sage leadership de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, notant que le Maroc constitue "un partenaire clé de la République tchèque en Afrique et un modèle à suivre dans de nombreux domaines".
Pour sa part, M. Talbi Alami a salué l'excellence des relations historiques reliant les deux pays amis, ainsi que la coopération entre leurs institutions législatives respectives grâce à l'échange de visites des délégations parlementaires, et dans le cadre du projet de jumelage institutionnel entre la Chambre des représentants marocaine et nombre de parlements de pays européens.
Au cours de ces échanges, qui se sont déroulés en présence du président du groupe d'amitié parlementaire Maroc-République tchèque, El Hussein Ben Tayeb, et de l'ambassadeur de la République tchèque au Maroc, Ladislav Škeřík, les deux parties ont examiné les différents aspects de la coopération parlementaire bilatérale et les défis communs dans le domaine de la gestion de la pénurie d’eau, du changement climatique, des énergies propres, de l’agriculture, de l’éducation, de l’intelligence artificielle, de l’industrie, ainsi que d’autres sujets d’intérêt commun.
Logement: Près de 8.500 bénéficiaires du programme d’aide en quête de chez-soi
(L'Opinion)
Près de 5 mois depuis son lancement, le programme d’aide directe au logement suscite un vif intérêt chez les Marocains, témoignant du besoin croissant du ménage marocain à l’acquisition de son propre logement. Un rêve que plusieurs citoyens avaient tendance à qualifier de difficile dans un contexte inflationniste dont les effets se font sentir sur leur pouvoir d’achat en général.
Aujourd’hui, ce programme ambitieux qui s’étale sur la période 2024-2028 promet de rendre le logement plus accessible à toutes les classes sociales, en particulier celles à faible revenu et la classe moyenne.
Doté d’une enveloppe budgétaire annuelle de 9,5 milliards de dirhams, ce programme vise également à recimenter le paysage urbain en réduisant le déficit en logements et en accélérant l’achèvement du programme « Villes Sans Bidonvilles ». Sur le plan économique, il est destiné à transformer le secteur de l’immobilier, qui représente 6,6% du PIB national, et à dynamiser le secteur privé et la création d’emploi.
Ce sujet s’est invité, mardi, dans une séance plénière de la Chambre des Conseillers, lors de laquelle le département de l’Aménagement du territoire national, de l’Urbanisme, de l’Habitat et de la Politique de la Ville a dressé un tableau où la crise du logement est reléguée aux chroniques du passé.
Dans une réponse à une question écrite, lue en son nom par la ministre déléguée chargée de la Transition numérique et de la Réforme de l’administration, Ghita Mezzour, la ministre Fatima-Zahra Mansouri a évoqué une affluence notable des Marocains au niveau de la plateforme d’aides directes au logement “Daam Sakane”. A la date du 19 avril courant, plus de 65.000 demandes ont été soumises à la plateforme, contre 52.000 demandes jusqu’au mois de février dernier.