-
13:13
-
12:45
-
12:30
-
12:14
-
12:00
-
11:58
-
11:45
-
11:29
-
11:28
-
11:07
-
11:00
-
10:54
-
10:45
-
10:40
-
10:30
-
10:16
-
10:07
-
10:00
-
09:45
-
09:43
-
09:37
-
09:21
-
09:14
-
09:00
-
08:45
-
08:39
-
08:30
-
08:00
-
07:15
-
06:53
Suivez-nous sur Facebook
Côte d’Ivoire: La déstabilisation une ligne rouge
Le président ivoirien Alassane Ouattara a affirmé, à Abidjan, que “nul ne sera autorisé à déstabiliser la Côte d’Ivoire” et que le droit sera appliqué à tous, “candidat ou pas” à l’élection présidentielle de 2020.
“Nul ne sera autorisé à déstabiliser la Côte d’Ivoire, perturber la quiétude des Ivoiriens, le droit sera appliqué à tous, candidat ou pas”, a dit Alassane Ouattara en conférence de presse conjointe avec le président de la Guinée-Équatoriale, Obiang Nguema, en visite officielle à Abidjan.
M.Ouattara a souligné que “les candidatures ne sont pas encore ouvertes par la Commission électorale indépendante et même si c’était le cas, nul n’est au-dessus de la loi, aussi bien les anciens présidents, les présidents d’institutions, le président de la République”.
“Nous sommes des citoyens et nous sommes responsables devant les juridictions”, a soutenu le président Ouattara, ajoutant que “la Constitution de la Côte d’Ivoire a des éléments très clairs concernant les députés qui ne sont pas au-dessus de la loi”.
Le 23 décembre 2019, un mandat d’arrêt international a été requis contre Guillaume Soro, ex-président de l’Assemblée nationale pour complot contre l’autorité de l’Etat.
Dans la foulée, une quinzaine de personnalités politiques pro-Soro, dont des députés, ont été arrêtées et mises sous mandat de dépôt pour trouble à l’ordre public, diffusion de nouvelles fausses et atteinte à l’autorité de l’Etat.
Le président ivoirien a souligné que les députés “ne peuvent pas être poursuivis dans le cadre de l’exercice de leur fonction mais quand ils sont mêlés à la déstabilisation de ce pays, ils doivent faire face à la rigueur de la loi”.
Source : MAP