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Errance des patients psychiatriques : un risque sanitaire et sécuritaire au Maroc
Le Réseau marocain de défense du droit à la santé et au droit à la vie a lancé un appel pressant aux autorités marocaines face à la situation préoccupante des patients psychiatriques laissés sans prise en charge adéquate. Dans un communiqué récent, l’organisation alerte sur les dangers que représente l’errance de ces patients, non seulement pour leur propre santé, mais également pour la sécurité publique.
Le réseau interpelle directement les ministères de la Santé, de la Justice et de l’Intérieur, les exhortant à agir rapidement afin de garantir un accès équitable et effectif aux soins. Selon l’organisation, de nombreux citoyens rencontrent encore des difficultés majeures pour bénéficier d’un suivi médical, confrontés à des délais d’attente trop longs, à un manque criant d’infrastructures spécialisées et à des coûts souvent prohibitifs.
Cette situation touche particulièrement les populations vulnérables, qui se retrouvent privées de soins psychiatriques adaptés, accentuant ainsi les risques d’exclusion sociale et d’errance. Le réseau appelle donc à des réformes structurelles urgentes pour améliorer le système de santé, renforcer la prise en charge psychiatrique et assurer que chaque individu puisse recevoir les soins nécessaires sans discrimination.
En conclusion, l’organisation insiste sur la responsabilité des autorités de garantir ces droits fondamentaux, rappelant que la protection de la santé mentale ne constitue pas seulement une exigence médicale, mais également une condition essentielle à la cohésion sociale et à la sécurité collective.