-
17:10
-
17:00
-
16:50
-
16:44
-
16:43
-
16:30
-
16:10
-
16:02
-
16:02
-
15:44
-
15:32
-
15:31
-
15:23
-
15:10
-
14:50
-
14:44
-
14:30
-
14:16
-
14:00
-
13:58
-
13:43
-
13:30
-
13:25
-
13:10
-
12:44
-
12:33
-
12:31
-
12:10
-
12:00
-
11:41
-
11:31
-
11:26
-
11:17
-
11:10
-
11:00
-
10:52
-
10:44
-
10:36
-
10:35
-
10:28
-
10:16
-
10:04
-
10:00
-
09:47
-
09:44
-
09:34
-
09:28
-
09:00
-
08:45
-
08:30
-
08:10
-
08:00
-
07:44
-
07:34
-
07:30
-
07:30
-
07:00
-
22:31
-
22:14
-
21:44
-
21:12
-
21:00
-
20:30
-
20:11
-
20:00
-
19:41
-
19:31
-
19:00
-
18:44
-
18:44
-
18:31
-
18:06
-
18:00
-
17:40
-
17:37
-
17:30
Suivez-nous sur Facebook
Gaza : Quinze dépouilles de prisonniers palestiniens restituées dans le cadre du cessez-le-feu
Le ministère de la Santé à Gaza, administré par le Hamas, a annoncé lundi la réception des corps de 15 prisonniers palestiniens, remis par Israël dans le cadre de l’accord de cessez-le-feu négocié sous médiation américaine. Cette restitution porte à 315 le nombre total de dépouilles transférées depuis l’entrée en vigueur de l’échange, qui prévoit à la fois la libération de détenus et la restitution de corps considérés comme « martyrs » par les autorités locales.
Selon le communiqué publié, ces corps ont été remis via le Comité international de la Croix-Rouge avant d’être transférés dans des hôpitaux de la bande de Gaza pour identification et prise en charge par les familles. Ce type de restitution constitue un volet sensible des négociations, touchant à la dimension humanitaire et symbolique du conflit.
En contrepartie, Israël a obtenu dimanche le rapatriement du corps de l’officier Hadar Goldin, tué lors de l’offensive de 2014 dans la bande de Gaza. Sa dépouille était depuis retenue par le Hamas, qui considérait cet officier comme un levier de négociation stratégique.
Cet échange intervient alors que le cessez-le-feu fragile en vigueur dans la bande de Gaza reste au centre des discussions diplomatiques. Washington et plusieurs capitales régionales tentent de consolider cette trêve, considérée comme indispensable pour stabiliser la situation humanitaire et envisager des discussions politiques de plus long terme.
Pour l’heure, les autorités gazouies n’ont pas donné davantage de détails sur les identités des prisonniers dont les corps ont été restitués. Les procédures d’identification pourraient se prolonger plusieurs jours, compte tenu des dommages causés par les années de conflit et des conditions de conservation fluctuantes.