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Washington met fin au statut de protection des migrants syriens
Les États-Unis ont annoncé vendredi la fin du statut de protection temporaire (SPT) accordé depuis 2012 à plus de 6 000 ressortissants syriens. Cette décision, officialisée par le département de la Sécurité intérieure, s’inscrit dans la politique migratoire de Donald Trump, visant à restreindre les droits de séjour de nombreuses communautés étrangères installées légalement sur le sol américain.
Selon le communiqué officiel, les bénéficiaires disposent désormais d’un délai de 60 jours pour quitter volontairement le pays. Passé ce délai, ils risquent arrestation et expulsion. Pour justifier cette mesure, l’administration américaine estime que « la situation en Syrie n’empêche plus les ressortissants syriens de rentrer chez eux » et que maintenir ce dispositif serait « contraire à l’intérêt national ».
Cette décision s’inscrit dans une approche plus large : depuis son arrivée à la Maison Blanche, Donald Trump a cherché à réduire l’accès aux protections humanitaires temporaires accordées à diverses nationalités. Les démocrates et les défenseurs des droits des migrants dénoncent une décision brutale, estimant que de nombreux Syriens risquent de se retrouver contraints de retourner dans un pays encore marqué par des tensions sécuritaires et sociales. Certains mettent aussi en avant la dépendance de secteurs économiques américains à la main-d’œuvre de ces migrants.